Dénouement heureux à un crime odieux à Carrières-sur-Seine

La conception vegan straight edge de la libération animale est absolument radicale, elle est révolutionnaire. C’est une conception complète et sans compromis. L’ídéologie dominante doit être renversée, une culture nouvelle en défense de la vie doit triompher.

Il faut donc dire franchement non aux gens prônant des réformes sur 10 000 ans ou bien résumant leurs actions à du symbolisme, que ce soit sur des blogs ou bien lors de rassemblements souvent sordides.

On a une preuve terrifiante de cela avec ce qui est arrivé à cette pauvre chienne à Carrières-sur-Seine, en banlieue parisienne. Un ennemi de la vie l’a enterrée vivante dans un terrain vague, ne laissant que la tête dépasser.

Le pauvre animal avait été attaché à un sac de gravats, puis recouvert de pierres. Voici l’explication et les photos absolument terribles issues de la page de la personne qui l’a trouvé et libéré.

Etant donné le dénouement heureux de cet acte ignoble, nous publions les images de ce sauvetage.

On remarquera l’attention que porte le second chien à celui qui est en détresse…

 « Hier lorsque que je promenais déesse avec une amie et alors que nous nous apprêtions a finir la promenade, nous décidames face au plaisir accentué que procurait à déesse la liberté, de continuer encore un peu…chose que je ne regrette pas étant donné que cela nous a permis d’être au bon endroit au bon moment pour sauver une vie, celle d’une chienne…qui malheureusement, a été cruellement enterrée vivante, seule sa tête était difficilement visible compte tenue de la quantité de terre qui la recouvrait. Je me passerai de commentaires et souhaite publier cela non pour valoriser mon acte mais pour sensibiliser les gens sur la cruauté envers les animaux considérés depuis peu de temps par la loi comme des êtres vivants dotés de sensibilité et prévoyant des peines allant jusqu’à 2 ans d’emprisonnement et 30 000 eur d’amende. Les images sont choquantes et la réalité bien plus encore… »







La chienne a été découverte il y a une semaine; l’affaire n’a été révélée qu’une fois une personne ayant été arrêtée : une jeune de 21 ans, « propriétaire » de la chienne de dix ans qui avait un tatouage à l’oreille. Il nie les faits, en prétendant que la chienne, un dogue de Bordeaux, se serait enfuie. Le point de vue des enquêteurs a été fourni par Le Parisien: « La chienne a plus de dix ans et souffre d’arthrose, on l’imagine mal prendre la fuite en courant. »

Le procès aura lieu en mars 2016, avec en théorie une peine possible de 30 000 euros d’amendes et deux années de prison. La pression est déjà énorme : l’information a été partagée 180 000 fois sur facebook, une pétition signée 320 000 fois.

Pour l’instant on ne connaît pas le nom du chien, c’est dommage cela dépersonnalise, et il faut savoir que pour l’instant il appartient toujours à son « propriétaire »…

Maintenant, regardons les faits avec un peu de distance. On sait que d’habitude on pense dans le mouvement de défense des animaux que les gens sont « méchants ». Pourtant, si on faisait un référendum, le peuple aurait un avis expéditif sur la question. Normal, tout le monde aime les animaux!

Le problème est que la société ne fournit que des situations mauvaises, où les gens ont un rapport le plus souvent anti-naturel aux animaux. Ce sont les enfants qui harcèlent les pigeons, la quasi totalité des gens mangeant de la « viande », l’expansion à grande vitesse de l’exploitation animale, l’écocide généralisé à l’échelle planétaire…

Cette personne a commis ce crime d’esprit typiquement nazi à Carrières-sur-Seine. Et cette personne n’est pas « folle », elle est le produit de la société, de ses valeurs, de l’idéologie dominante. Vouloir changer les choses sans s’attaquer aux racines du problème n’aurait pas de sens.