La recherche… pour le nucléaire

Dans un rapport rendu au début du mois, deux députés (Christian Bataille et Claude Birraux) constatent qu’en France seuls 6,5% de l’effort de recherche publique en matière d’énergie sont consacrés aux énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse…).

Une chose pas très étonnante quand on voit la nature de l’écologie en France : réformiste, anti-vegan, totalement inféodé à l’idéologie de domination mécanique de la nature et à la conception de l’animal machine…

En pratique, cela donne 52 millions d’euros sur un total de près de 800 millions, alors que la recherche sur le nucléaire (transmutation, stockage souterrain des déchets radioactifs) engrange 477 millions d’euros et celles sur les hydrocarbures fossiles (pétrole gaz, charbon) 106 millions d’euros.

Voilà l’avenir, si l’on ne s’engage pas dans le véganisme et l’écologie radicale – la Terre d’abord!