Danemark: interdiction d’un documentaire sur les fermes à fourrure?

Nous parlions récemment du Danemark avec deux opérations de libération de visons. On apprend désormais que l’association danoise des éleveurs de visons a porté plainte afin d’empêcher la diffusion d’un reportage sur cette industrie lors de l’émission d’enquête « Operation X » qui devait passer ce 27 octobre sur la chaîne nationale TV2 au Danemark.

Cette industrie a bien compris les risques pour elle: le Danemark est le premier producteur annuel de fourrure de vison au monde, avec 14 millions d’animaux massacrés chaque année. 90% de la fourrure produite au Danemark consiste en des peaux de visons assassinés. Les médias danois parlent même de la panique de cette industrie.

Il est vrai que cette industrie est très consciente de ce qu’elle est: le site de l’association des fourreurs joue sur le côté « sexy« , évidemment dans le style décadent de la grande bourgeoisie, et souligne que la rédactrice en chef de Vogue est fan de fourrure et que Vogue n’arrêtera jamais d’en parler, malgré toutes les demandes de PeTA.

Elle comprend donc bien le danger, qui n’est évidemment pas PeTA mais les activistes de la libération animale, et elle accuse donc  désormais ouvertement les médias d’être au service des vegans, affirmant que le documentaire a été tourné illégalement alors que l’industrie n’a rien à cacher, etc.

Notons d’ailleurs que le magazine Elle parle ainsi de la libération des visons en Dordogne (après avoir également diffusé l’info concernant le Danemark), rappelant encore une fois qu’il n’y a rien à attendre de ces couches sociales qui fascinent tant PeTA:

« Dans la nuit, les animaux se sont échappés de leur élevage, semant la terreur auprès des habitants. L’office national de la chasse et de la faune (ONCFS) a été mobilisé pour récupérer les visons, dangereux pour l’homme, apprend-on sur « leparisien.fr ». Les gendarmes pensent à « un acte de malveillance ». Les défenseurs de la cause animale en seraient-ils les auteurs ? »

La terreur auprès des habitants… Et PeTA s’imagine changer les choses en ayant une photo ou quelques lignes dans ce genre de revues? C’est ridicule et ne sert en fait que de faire-valoir démocratique à ces gens.

Aucun compromis dans la libération de la Terre et de ses habitantEs!

Libération de visons en Dordogne

Aux alentours du village de Saint-Cybranet (370 habitants), près de Domme, en Dordogne, 4.200 visons se sont échappés d’une ferme d’élevage. Le propriétaire de celle-ci a expliqué aux médias: « Ce matin on m’avait abattu toutes les clôtures et ouvert toutes les cages ».

Les médias ont tenté de minimiser ce qui est sans doute évidemment une action relevant de la Libération Animale en expliquant que seulement 2.000 visons avaient été libérés, que la moitié avait été déjà « récupérée » etc.

Mais la palme de l’hypocrisie immonde revient au sous-préfet, qui a expliqué que:

« Plusieurs dizaines de visons sont malheureusement morts sur place à cause du stress ».

Si quand vous lisez cette phrase et que vous n’êtes pas vegan, vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous ne voulez pas ressembler ne serait-ce qu’un peu à ce représentant de l’Etat, qui s’inquiète que les pauvres visons ne puissent pas mourir comme il se doit: massacrés, électrocutés…

A noter aussi les propos du maire de Saint-Cybranet, Claudine Farfal: elle pense que l’action a été menée par « des gens qui pensaient sauver ces animaux » (non? vraiment! incroyable!), et selon elle « en croyant les sauver, on en tue des milliers d’autres »…

Voilà bien la logique des prétendus amis des animaux (qui jamais ne sont vegans d’ailleurs): tout est affaire de juste milieu, de réformes, etc. Tout cela est du vent. Aujourd’hui, c’est la guerre qui est menée contre les animaux! Et d’ailleurs même sur le site du Parisien, les commentaires sont quasiment tous favorables à l’action. Voilà également de quoi contrer les arguments des pessimistes de service, qui se lamentent sur le sort des animaux non humains, mais n’assument pas la lutte!

Jeux en ligne où on massacre des animaux…

Si vous pensiez que Paf le chien était une exception, vous vous trompez. Notre petite équipe a fait le tour de tout ce qui concerne le rapport avec les animaux non humains, et voici quelques unes des autres catastrophes culturelles que nous avons pu croiser lors de notre travail d’enquête.

Les trois jeux suivants dont nous allons vous parler sont disponibles en ligne, et traitent tous à leur manière funeste de la grippe porcine.

Aporkalypse Now (jeu de mot avec le nom du film « Apocalypse now ») est un jeu qui ne se prend pas au sérieux, mais qui est pour autant lamentable. On bouge son personnage avec le clavier et le viseur avec la souris: on est attaqué par des cochons (en costards cravates) possédés et grognant, et on doit les tuer à coups de pôele, ou bien de fusils si on trouve des munitions. Certains cochons ont une morve verte pendant du nez et sont tout bleus, et sont plus rapides… Histoire de souligner l’éternelle « bataille » de l’être humain face aux « monstres » que seraient les animaux non humains.

Swine Flu Hamdemic rappelle Paf le chien (lui-même étant en fait un avatar de Yeti Sport, où dans de nombreuses versions un yeti frappe un pingouin à coup de batte pour l’envoyer au loin, le faisant éventuellement rebondir sur des phoques, voir ici la version gore).

Dans ce jeu il faut avec une sorte de lance pierre géant envoyer les cochons le plus loin possible, leur tirant dessus pour les faire rebondir. A l’arrivée le cochon se fait massacrer par un chercheur en combinaison, ou bien rôtir, mettre en boîte, ou bien explose, ou est empalé sur un cactus, etc.

Enfin dans Swine Fighter, jeu moins élaboré, il faut vacciner des cochons monstrueux avec des ailes, soit à l’aide de seringues, soit à la mitraillette.

Des exemples d’expression de la culture dominante. A nous de forger une autre culture, pour la libération animale et la libération de la planète!

« C’est drôle de taper dans un chien »: la barbarie du jeu « Paf le chien »

« C’est drôle de taper dans un chien » dit Charles Christory actif dans une petite société du nord de la France, Adictiz, qui a fait un jeu sur facebook où il faut taper dans un chien pour l’envoyer le plus loin possible… en le faisant rebondir sur des poules!

En trois jours 100.000 personnes y avaient joué, en une semaine un million

« Aujourd’hui, ce 2 octobre 2009, j’ai la chance et l’honneur de vous dire que vous êtes 1 million à avoir joué à la vedette Paf le chien ! Ça défoule au boulot, à la fac et même à la maison ! »

Un jeu haïssable donc, créé par une personne forcément méprisable ou plutôt haïssable: faut-il rappeler que le titre du jeu fait référence à la « blague »: « Tu connais paf le chien? C’est une voiture qui passe et paf le chien ».

Une blague sordide, qui d’ailleurs a été déclinée en de très nombreuses versions anti-animaux:

Slurp la limace : C’est Robert qui mange sa salade et Slurppp la limace.

Bzzz l’abeille : C’est une abeille qui se pose sur une ligne à haute tension et bzzz l’abeille.

Couic-Couic le canard : C’est l’histoire d’un canard sur une patinoire et couic-couic le canard.

Zou le poisson : Une poêle, du beurre, et zou le poisson !

Creu l’escargot : Un escargot se promène, arrive un piéton et Crreu l’escargot.

Schtroumpf le hamster : C’est la femme de ménage qui passe l’aspirateur et Schtrooooumpf le hamster.

Flip Flap la girafe : C’est une girafe qui se promène et il y a un hélicoptère qui passe. Et Flip Flap la girafe !

Scrouitch la souris : C’est l’histoire d’une souris qui traverse la route et scrouitch la souris.

etc.

Le jeu en question est également en ligne ici, et on peut voir une vidéo . Il est prévu pour iPhone et Twitter. Une version avec un chat au lieu d’un chien est également à l’étude…

Rappelons qu’existe aussi sur Facebook (il s’agit là même de la première application du genre)… Farmville, joué par 150 millions de personnes par mois! On peut voir des vidéos ici et une ici sur l’élevage d’animaux non humains dans ce « jeu ».

Nous avons besoin d’un mouvement pour la libération animale et pour la libération de la Terre, pour faire face sans compromis à cette barbarie!

Affaire du plutonium dissimulé à Cadarache dans les Bouches-du-Rhône

Quand on commence à trouver du plutonium en trop « par hasard », c’est plus qu’inquiétant… Et cela en dit long sur le chaos absolu qui régne dans les entreprises en quête de profits…

Théoriquement, le nucléaire a l’assurance d’être géré par l’Etat, pour le bien de tous. C’est donnant donnant: c’est bon pour l’Etat qui se montre indispensable et responsable, c’est bon pour le nucléaire qui prétend exister en toute sécurité. Ce qu’on voit c’est qu’en pratique l’État ne gère rien du tout, et d’ailleurs au fond l’État se fout bien des gens, puisqu’il est au service des industriels et des banques!

Ici le communiqué de Sortir du nucléaire:

Affaire du plutonium dissimulé à Cadarache dans les Bouches-du-Rhône : le Réseau « Sortir du nucléaire » accuse les autorités françaises d’être manipulées par l’industrie nucléaire

=> Ces 30 kg de plutonium « en trop » pourraient cacher un trafic entre la France et les USA en 2004
=> Le Commissariat à l’Energie Atomique a caché cette incroyable situation pendant des mois

– C’est l’équivalent de 6 bombes atomiques qui est illégalement stocké à Cadarache
– M. Borloo se ridiculise en demandant « une enquête » ou « la transparence » à chaque affaire.
– L’Autorité de sûreté nucléaire est incapable de se faire respecter par EDF, Areva et le CEA.
– Il faut stopper l’industrie nucléaire française et répertorier les situations les plus dangereuses.

Les graves fautes commises par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) dans son site nucléaire de Cadarache (15 à 30 kg de plutonium « en trop » trouvés dans l’Atelier de plutonium) posent des questions très importantes et illustrent parfaitement la réalité du nucléaire en France :

– Le personnel politique des partis dominants (en particulier UMP et PS), qui soutient aveuglément l’industrie nucléaire, est incapable de contrôler les exploitants (EDF, Areva, CEA) qui mentent impunément depuis des décennies.

– L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) est elle-même parfaitement incapable de se faire respecter et d’assurer le contrôle des activités nucléaires. Ainsi, le fameux Atelier, où le plutonium « en trop » vient d’être « découvert », a été contrôlé à de nombreuses reprises ces dernières années. Vainement, de toute évidence.

– Il est édifiant de rappeler qu’Areva a rouvert l’Atelier de plutonium fin 2004 pour y traiter une cargaison de plutonium américain, alors que la fermeture censément « définitive » de cet Atelier avait été obtenue par l’ASN quelques mois plus tôt.

– Il est d’ailleurs légitime de se demander si le plutonium excédentaire trouvé à Cadarache ne provient pas de ce « trafic » de plutonium de 2004 entre Areva et les Etats-Unis. Des mesures policières et militaires insensées avaient alors été déployées pour empêcher tout regard citoyen sur ces transferts de plutonium.

Les citoyens français doivent prendre acte que la « transparence » n’existe pas et n’existera jamais dans l’industrie nucléaire. Tant que celle-ci fonctionnera, la vérité sera activement dissimulée aux citoyens, tant les dangers et les pollutions du nucléaire sont graves et injustifiables.

C’est une des raisons, avec les risques d’accident, la production de déchets radioactifs, la prolifération à des fins militaires, qui justifient la nécessité de sortir au plus vite du nucléaire.

Déchets : Le cauchemar du nucléaire

Un documentaire de 98 minutes qu’on peut regarder en ligne jusqu’au 20 octobre, sur le site d’Arte. Ici le texte de présentation de la vidéo:

Déchets : Le cauchemar du nucléaire

Un documentaire coup de poing sur l’un des plus grands tabous de notre société : les déchets radioactifs, face cachée du nucléaire.

Mais qu’en connaissons-nous exactement ? Comment avoir une vision claire d’un domaine couvert depuis toujours par le secret ? Que ce soit en France, en Allemagne, en Grande-Bretagne, aux États-Unis ou en Russie, cette enquête scientifique et politique aborde le sujet tabou du nucléaire par sa zone la plus sombre. Un documentaire indispensable pour mieux comprendre des choix qui pèsent lourd sur l’avenir de l’humanité.

En pleine prise de conscience des menaces de réchauffement climatique, et tandis que les industriels et certains politiques présentent l’énergie nucléaire comme une énergie propre, maîtrisée et sans impact sur l’environnement et la santé, les auteurs partent en quête d’une vérité qui dérange.

Le cocktail vitaminé des graines germées

Aliment indispensable à toute alimentation saine et équilibrée, les graines germées sont un concentré de vitalité grâce à son taux incroyable de vitamines et minéraux! Toute personne vegane doit s’y intéresser.

Le processus est simple à comprendre: la germination permet de démultiplier le taux de minéraux et vitamines, ainsi 100 g de lentilles cuites fournissent 1,5 mg de vitamine C alors que la même quantité de lentilles germées en apporte 16,5 mg.

Par ailleurs, faire pousser des graines développe la présence de certaines vitamines : dans un germe de blé par exemple, on trouve de la vitamine C alors qu’elle est absente dans le grain de blé.

Et l’usage est très simple: il suffit de les faire pousser dans un grand bocal en verre recouvert d’une gaze ou d’un couvercle troué et de les rincer 2 fois par jour jusqu’à l’apparition de jeunes pousses (plus ou moins rapide selon les graines utilisées).

Les graines ont besoin de chaleur, d’humidité et de lumière pour se développer.

Les plus courantes et les plus simples à cultiver sont les graines d’alfafa, la moutarde, le soja, les lentilles ou encore les mélanges de graines.

Il existe également des graines déjà germées au rayon frais des magasins biologiques.

Les graines germées se consomment dans les salades, saupoudrées sur un plat de céréales, elles agrémentent aussi des sandwichs trop fades et trop peu complets.

Pour les novices, voici un site très complet à ce sujet et un tableau récapitulatif des vitamines contenues après germination.

Carla Bruni au service des animaux?!

Quand on veut affronter un problème, il faut le faire bien. Cela veut dire donc: pas dans la demi-mesure. Si nous rejetons par principe la « marche contre la fourrure » parisienne du 24 octobre (voir notre article ici), à laquelle toutes les associations appellent (de la fondation Brigitte Bardot à Droit Des Animaux en passant par les Furieuses Carottes), c’est bien pour ne pas avoir à un rapport de près ou de loin avec cela:

Carla Bruni a été saluée par Bardot pour ne pas mettre de fourrure, mais que met-elle à la place? Est-elle vegane? Certainement pas! Tout cela souligne bien le degré zéro d’une « marche contre la fourrure » qui est totalement sur la ligne de Bardot, et qui va maintenant en plus servir l’image de Carla Bruni!

Pas de compromis! Nous avons besoin de la libération de la planète, de la libération des animaux, pas de Carla bruni! Ni de Bardot d’ailleurs! Nous avons besoin de personnes veganes sérieuses, conséquentes!

Jag äter inte mina vänner!

Les nombreuses actions de l’ALF dans les pays scandinaves ne doivent pas surprendre; le veganisme a une longue tradition, nous avions d’ailleurs déjà parlé du rôle de la ville suédoise d’Umeå dans l’émergence du mouvement vegan straight edge.

Mais nous n’avions pas parlé d’une chanson très connue en Suède, « Jag äter inte mina vänner », ce qui signifie « Je ne mange pas mes amis ». Une traduction est désormais en ligne (voir ici) et on peut l’écouter en ligne.

Cette chanson, étrange et forte comme le constatera toute personne qui l’écoutera et aura pris connaissance des paroles, est en fait un duo. La personne qui chante toute la première partie est Thomas Di Leva, artiste très connu en Suède (on peut écouter cette chanson pour se faire une idée de ses ballades). Se rajoute ensuite la voix du chanteur du groupe Refused, groupe qui a énormément marqué l’histoire de la musique dans le monde (bien qu’il soit quasi inconnu en France!), et qui est un produit de la scène vegan straight edge d’Umeå.

« Les animaux, les animaux, les chats sont des personnes, les chiens sont des personnes. Les chevaux, les chevaux, les singes sont des personnes, les vaches sont des personnes. Et les personnes seront amies, il n’y a aucun jugement seulement nous. Il y a quelque chose de beau dans tout ce qui est né. Je ne mange pas mes amis car ils sont une partie de moi – avec lequel je peux vivre avec et grandir en toute éternité. »

Libération de visons en Suède et au Danemark

Le Front de Libération des Animaux est historiquement très fort dans les pays scandinaves, et le site Bite Back informe de plusieurs actions marquantes.

Au Danemark, ce sont 6.000 visons qui ont été libérés d’une ferme près de Søndervig dans la nuit du 6 octobre. Puis le 9 octobre, 5.000 visons ont été libéré d’une ferme à Fousing.

En Suède 1.000 visons ont été libéré à Eskjo, le 5 octobre, l’équipement de la ferme et des tuyaux de canalisation étant également sabotés. La ferme avait été la cible de trois autres opérations, le responsable n’enlevait même plus les graffitis de l’ALF écrit sur la ferme! Il a d’ailleurs annoncé qu’il fermerait cette fois la ferme.

Quand le monde vegan sauvera les animaux

Le 4 octobre dernier c’était la prétendue journée mondiale des animaux. Créée en 1931 cette journée a pour but de dénoncer les atrocités commises envers nos amis les animaux. Force est de constater que depuis les choses n’ont guère évoluées; même si quelques amendes et rares peines d’emprisonnement commencent à apparaître.

Pourtant, si actuellement l’écologie est à la mode (surtout pour le futur et le bien-être de nos enfants!), ce prétendu respect de notre Terre n’inclut pas le respect des animaux. Et les rubriques « faits divers » continuent d’afficher leur étalage morbide.

Ainsi, le mois dernier à Alberville un chat a été retrouvé éviscéré et découpé en morceaux. L’assassin faisant étalage du corps d’un côté, des pattes de l’autre et la tête empalée gueule ouverte. Cet individu aurait, dans un premier temps, détérioré des arbres à coups de hache, avant de s’en prendre au pauvre félin.

Par ailleurs, ce week-end dans le Gard des habitants ont trouvé le corps d’un sanglier qui a été « matraqué, saigné, lacéré, éventré et brulé ».

Cet acte barbare a poussé le maire de la commune, Robert Pizard-Deschamps, a porter plainte contre X auprès de la gendarmerie de Laudun l’Ardoise.

Si les actes de cruauté envers les animaux ne diminuent pas, l’exploitation de ceux-ci au nom de la « bonne bouffe » (la mode était aux produits animaux issus de l’agriculture biologique) ou au nom de la « conservation/protection » des espèces avec les zoos est aussi en plein boom (l’argument étant qu’ils n’ont plus de milieu naturel pour vivre).

Alors contrairement à l’opportunisme de PeTA ou de Nicolas Hulot qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et qui au fond se soucie bien peu des animaux, il serait grand temps de mettre en place de vraies valeurs de respect et d’intouchabilité envers les animaux. Et le seul un véganisme radical le peut.

Du tofu pour les riches, Mc Do pour les pauvres?

Voici un compte-rendu du Figaro qui est très exactement ce dont nous ne voulons pas! Nous ne voulons pas de cette culture, nous voulons l’écologie radicale et la libération animale! Nous mettons en gras quelques passages très « croustillants », ou plus précisément insupportables.

Evidemment il y aura certains mauvais esprits pour expliquer que c’est une « avancée ». Ces gens là ne veulent pas du combat, alors ils vont se réfugier chez les riches, en allant quémander une petite part, jouant sur la corde de la « santé » afin de mieux se vendre. Quant aux animaux, ou la planète, ou leur dignité…

Du tofu chez Soya

08/10/2009 | Mise à jour : 12:43

Voici quelques produits à remettre au centre de nos assiettes pour renforcer notre système immunitaire. En bonus : nos bonnes adresses pour les déguster dans la capitale !

Pourquoi ? Pour les messieurs anticholestérol et les miss au régime : faible apport calorique, fort apport en protéines et texture sensuelle de rigueur s’il s’agit de tofu soyeux. Mais encore ? Il prévient le cancer du sein et convient aux allergiques au lait. What else ?

Où ? Chez Soya, la cantine à ­bobos qui réconcilie le côté ­veggie-bio et le glamour sur fond de petites tables d’hôtes en bois et déco industrielle. Mais aussi pour l’allure de la clientèle – demoiselles esprit Isabel Marant et jolis garçons hétéros – et ses assiettes : merveilles de mezze, couscous et lasagnes de folie.

Indications : un menu-prescription avec un avertissement pour chaque produit destiné aux anti-gluten (nouvelle diète hype !) et aux amateurs d’assiettes au total look végétalien.

Effets secondaires : panneau sens interdit pour les accros à la viande.

Soya, 20, rue de la Pierre-Levée, XI e. Tél. : 01 42 49 03 21. Tlj sf dim. et lun. soir. Menu déj. à 15 €, carte env. 20 €.

« Ne pas tenir le téléphone à moins de deux centimètres du corps »

Le Monde publie une interview intéressante (attention il y a deux pages) de Pierre Souvet, cardiologue et président de l’Association santé environnement France. Il s’agit en fait de questions réponses sur les ondes électromagnétiques, avec des infos toujours intéressantes, car comme le dit le cardiologue, si auparavant en France ces questions étaient impossible à soulever, les choses ont bien changé et il y a prise de conscience qui de fait s’élargit.

Un exemple très parlant:

Bob : Voyez-vous un danger dans les tables de cuisson à induction qui génèrent un fort champ magnétique ?

Les tables à induction génèrent un fort rayonnement électromagnétique. Il faut éviter de s’y tenir à moins d’un mètre cinquante lors de leur fonctionnement, même si la cuisson est rapide, notamment les femmes enceintes. En ce qui concerne le micro-ondes, s’il ne fuit pas, il n’y a pas de souci. Dans le doute, là aussi, éloignez-vous un peu pendant son fonctionnement.

Rappelons aussi qu’il existe l’association abattant un énorme travail sur les antennes relais, les portables, le wifi, : Robin des Toits, dont le site est excellement bien fourni et incontournable sur la question.

Mieux vaut des biscuits vegans et bios!

S’il y a une chose qui est bien énervante quand on discute avec des non vegans bornés (même si de fait tout non vegan est borné, a des limites par rapport à la nature et les animaux), c’est leur prétention à avoir une alimentation « saine ». Voilà des gens qui ont un point de vue façonné par l’industrie en quête de profit, et qui se la ramène!

Alors qu’en fait… ce qu’il y a derrière, quand on arrive à le savoir, est assez terrible. Prenons les «LU Prince» par exemple. A priori, n’importe qui se dirait: inoffensif. Eh bien non, justement!

Une étude parue en Suisse et résumée ici en français parle d’une substance potentiellement dangereuse pour les enfants, appelée « esther d’acide gras 3-MCPD ». L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a en effet émis une recommandation qui fixe à 2 microgrammes par kilo de poids corporel par jour la limite maximale tolérée.

Et le test dit que les résultats sont insuffisants pour «LU Prince», des «Wernli Chocoly Original», des «Frisian Troubadour Fourré Choco» de Coop, des «Fourre Biscuits» de Spar, des «Fourrés» de Denner et des «Sondey Doppelkek Rolle» de Lidl…

A noter l’inévitable test sur les animaux, en l’occurence sur des rats, qui n’ont obtenu par contre que des tumeurs bénignes. Ce qui n’aura pas empêché – ce que l’article ne dit pas – ces animaux se faire massacrer une fois leur « service rendu ». Une belle démonstration de la nature de la vivisection. On teste sur les animaux, on relativise car on voit bien que les êtres humains et les rats ont une physiologie différente, puis on massacre les animaux!

L’allaitement maternel

L’allaitement maternel est un acte naturel que tous les autres mammifères pratique.

L’allaitement au sein se justifie d’une part, avec le refus de nourrir son bébé au lait de vache car l’exploitation des vaches « laitières » et de leurs petits sont indignes.

D’autre part, le lait de vache est injustifiable car nous ne sommes pas des ruminants et nous n’avons en aucun cas le droit de voler le lait destiné aux veaux pour allaiter nos propres enfants.

Ainsi, l’allaitement maternel permet à la mère et à son enfant de développer une complicité et un rapprochement intime qui est inexistant avec l’allaitement au biberon avec du lait de vache.

Par ailleurs, l’allaitement serait bénéfique pour la santé de bébé et de sa mère. Alors, si nous voulons libérer les animaux de leurs chaînes pour leur offrir un monde sans aucune exploitation animale, l’allaitement au sein est un geste logique et dans l’ordre des choses.

Dead Prez: veganisme éthique ou bien juste « healthy »?

Suite à l’interview sur le Vegan Edge Hip Hop, voici quelques précisions sur le groupe Dead Prez (qui sera d’ailleurs en concert à Paris en novembre, pour le prix rédhibitoire et parisien de 30 euros!). Les personnes intéressées peuvent se reporter à l’interview sur la radio en ligne américaine Vegcast, plus précisément l’émission 48 (le thème est abordé à la 22ème minute de l’émission).

La personne interviewée a mené une étude sur les artistes de musique adeptes du végétarisme et du véganisme, et lorsque le présentateur de l’émission lui demande sa chanson favorite à ce sujet, elle explique sa tristesse car elle vient de la culture Hip Hop, appréciait Dead Prez, et que Stic.Man du groupe mange désormais du poisson.

Ce que celui-ci omet bien d’expliquer dans une interview récente, même s’il est vrai que dedans il explique juste qu’il vit le fait de « bien manger » au quotidien car sa femme a écrit un livre de recettes vegan et que leur fils de 8 ans l’est. Un opportunisme typiquement masculin qui n’étonnera évidemment pas les femmes veganes!

On peut d’ailleurs remarquer que dans le dernier clip de Dead Prez, Summertime, on voit une scène devant un « healthy vegetarian & seafood restaurant ».

« Healthy »: pour rester en bonne santé, ce qui était déjà le mot d’ordre de la chanson Be Healthy, une bonne chanson car la santé c’est important, mais les animaux ne se voient pas reconnus comme ayant une valeur en soi. Le mot « seafood » veut d’ailleurs dire « fruit de mer » (sic).

Dans un même registre en pire, il y a le rappeur Common qui avait mis en avant son veganisme, notamment évidemment pour PeTA, pour à partir de quelques mois après manger des poissons tout en saluant les vegans (!!), et finalement se retrouver deux mois après à fêter le 40ème anniversaire du Big Mac. Encore une fois merci pour la crédibilité, et merci à PeTA pour ce ridicule!

Pour les personnes s’intéressant au Hip Hop, il reste par contre le site Vegan Hip Hop movement, qui permet de découvrir d’autres artistes!

La crise écologique comme prétexte pour refuser la libération animale

Un « point de vue éthique de la fourrure »? Au nom de l’écologie??!! La Planète est prête à sauter, tout le monde se lâche et fait n’importe quoi sous couvert de l’écologie, enfin n’importe quoi… N’importe quoi pour faire de l’argent, ou bien pour réussir.

Ici deux exemples, avec tout d’abord la fourrure justifiée par l’industrie par… l’écologie. Et à l’inverse mais dans un mouvement qui revient au même, le nouveau discours de PeTA qui justifie pareillement la mise de côté des principes végans au nom de l’écologie.

1. Quand l’industrie entend s’approprier l’écologie pour justifier la fourrure

Le site Eco-fourrure.com est vraiment le symbole de cette nouvelle attitude, qu’on retrouve dans l’ensemble des magazines écolos (comme ceux distribués gratuitement en magasins diététiques).

Cette attitude consiste à dire que l’utilisation d’animaux c’est « écolo » et « naturel ». On trouve donc très régulièrement dans ces revues des articles/publicités sur le lait de jument en cosmétiques, les milles vertus des produits de la ruche ou bien encore sur le « réel  bienfait» de l’animal à notre service via la zoothérapie !

On trouve donc tout et (surtout) n’importe quoi pour se dire écolo, jusqu’à…. la fourrure! Eco-fourrure.com (http://www.furcouncil.com/ecofourrure.aspx) en est ici un très pathétique exemple. Ce site canadien met en avant le « respect » des animaux, de la nature et des autres peuples afin d’utiliser sans aucun cas de conscience la peau des animaux tués !

Et si malheureusement là il est question de business, cette tendance est malheureusement également très représentative dans une partie de l’écologie radicale, les « primitivistes », qui ne voient pas que vouloir retourner en arrière, avant les « progrès de la civilisation », se ferait forcément aux dépens des animaux.

La crise écologique a donc en tout cas bon dos et sert bien les intérêts des opportunistes, quitte à renverser la situation, comme sur Eco-fourrure.com:

« Les fibres synthétiques sont habituellement faites à partir de dérivés du pétrole (une ressource non renouvelable) ce qui n’est PAS en accord avec l’utilisation durable de notre environnement. La production, le transport et les déchets des substances pétrochimiques peuvent donner lieu à des problèmes environnementaux. »

Ce discours sur les animaux devient de plus en plus un grand classique chez les exploiteurs tortionnaires. On retrouve donc le même discours que les vivisecteurs qui tentent de nous faire croire qu’ils traitent avec décence et respect leurs animaux (comprenez leur matériel bien-sûr) :

« La seule façon d’obtenir des fourrures de qualité c’est de prodiguer de bons soins aux animaux; c’est le meilleur incitatif pour l’éleveur de respecter ces normes: les éleveurs qui négligent leurs animaux ne resteront pas en affaires longtemps. D’un point de vue humanitaire, les animaux à fourrure subissent moins de stress que les animaux produits pour l’alimentation, puisqu’ils ne doivent pas être transportés à des abattoirs éloignés. (Le transport, embarquement et déchargement sont plus stressants pour les animaux que l’abatage proprement dit). » (Eco-fourrure.com)

Alors, après les chasseurs protecteurs de la Nature et écologistes, nous avons le même discours lamentable pour les trappeurs se targuant d’être des « activistes environnementaux » qui ont « un point de vue éthique sur la fourrure »!

« Parce qu’ils en dépendent pour gagner leur vie, les trappeurs sont directement concernés par la protection de la faune et de son habitat, de nos forêts et de nos rivières.

Ils sont les premiers à sonner l’alarme dès que l’environnement sauvage est menacé.

Pour nous citadins, ils sont nos yeux et nos oreilles sur le terrain. » (Eco-fourrure.com)

La crise écologique a bon dos, comme si l’éthique ne doit pas être une composante essentielle de l’écologie.

2. PeTA de plus en plus réformiste au lieu de se radicaliser

On pourrait avoir le raisonnement, on devrait avoir d’ailleurs le raisonnement comme quoi avec la compréhension toujours plus grande de la crise écologique, il est temps de lever le drapeau de la libération de la planète, de la libération animale.

Oui, mais pour cela il faut déjà y croire. Quand on y croit pas on va plutôt dans le sens de la réforme, et puis on ajoute des « choses en plus ».

En pôle position se trouve encore l’association PeTA qui exhibe 2 filles nues sous une douche en pleine rue, à Strasbourg.

Tout ce cinéma dénué de sens pour « sensibiliser » les passants sur… le végétarisme ! Enfin, les passants… plutôt les hommes tout heureux de pouvoir jouer les voyeurs.

Dans la vidéo on peut voir le porte-parole de l’association souligner qu’il faut 15 000 litres d’eau pour produire un kilo de viande de bœuf, soit l’équivalent d’une année de douche.

Soit. Mais alors pourquoi illustrer cet argumentaire avec une douche laissant couler de l’eau durant plusieurs heures ?

Pourquoi mettre non pas simplement une fille nue, mais carrément deux, histoire de jouer sur le fantasme masculin le plus éculé et d’un minable lamentable, celui de « coucher avec deux filles en même temps »?

De plus, à écouter le porte-parole de cette association, le végétarisme seul permettrait de stopper la formation de gaz à effet de serre… Et évidemment il est parlé des « bons petits plats » qu’on peut manger quand on est végétarien.

Mais tous les vegans savent bien que la production de produits laitiers et d’oeufs est étroitement liée à la production de « viande ». Tout cela est une seule et même culture.

Le végétarisme n’a aucun sens, non seulement c’est une pratique hypocrite, mais de plus les végétarienNEs ne sont que la petite contrepartie sociologique de l’écrasante majorité omnivore.

Le militantisme écologique ne sera crédible et ne prendra forme réellement (et sans aucun compromis opportuniste) que quand tout le monde voudra bien comprendre que le véganisme est la seule solution pour Gaïa et ses habitantEs !

Hulot aide Duracell à « éduquer » les enfants jusque dans les zoos

Duracell annonce fièrement qu’en tant qu’entreprise elle « s’engage aujourd’hui pour trois ans auprès de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme et devient partenaire de la lutte contre le changement climatique afin de sensibiliser et mobiliser les consommateurs ».

Voilà le rôle joué par Hulot totalement clair: parce que Duracell soutient sa fondation, cette entreprise peut prétendre être « partenaire de la lutte contre le changement climatique ».

D’ailleurs si Hulot travaille avec de très nombreuses grandes entreprises (Bouygues, L’Oréal, Norauto, Autoroutes du Sud, etc.), il les défend, encore tout récemment il disait:

« Je ne donnerai pas de noms mais il y a des entreprises avec lesquelles je refuse de travailler. Je pense qu’il y a des entreprises qui évoluent dans leurs pratiques et qu’il y en a qui sont dans un cynisme absolu. » (AFP, 26-9-2009).

Ce qui veut dire que Nicolas Hulot est tout à fait d’accord avec la campagne de Duracell… dans les écoles primaires. Rappelons en même temps que Duracell appartient à Procter & Gamble, une entreprise bien connue des activistes sur le plan international pour pratiquer très largement la vivisection.

La campagne de Duracell s’adresse directement aux enfants indiduellement, en plus des activités dans les écoles primaires, comme on peut le voir sur leur site:

Si tu as entre 6 et 12 ans et que tu résides en France métropolitaine ou en Corse, participe au concours en répondant à la question suivante :

Tu peux répondre à cette question par écrit ou l’illustrer d’un dessin si tu le souhaites.

Laisse libre court à ton imagination !

L’idée doit être originale, réaliste et spontanée !

IL FAUDRAIT PLUS DE QUOI OU DE MOINS DE QUOI POUR PROTÉGER NOTRE PLANÈTE ?

Ce qu’on peut gagner est édifiant:

1er lot : Une journée en famille au Parc animalier et botanique de Branféré d’une valeur d’environ 2000 euros. Le parc de Branféré se trouve à Le Guerno dans le Morbihan (le transport et le logement pour la nuit sont compris dans le lot). C’est là où se trouve l’Ecole Nicolas Hulot !

Du 2ème au 10ème lot : un lapin en peluche Duracell et un chargeur de piles rechargeables avec ses piles Duracell Active charge !

La nature et les piles mis sur le même plan. Enfin, la nature… ne nous y trompons pas. Le Parc animalier et botanique de Branféré a un nom trompeur. Il s’agit en effet d’un parc d’acclimation, qui a été créé en 1965.

Ou pour parler plus clairement, les animaux non humains qui sont là-bas sont des animaux exotiques amenés pour l’amusement par un couple de richards parcourant le monde à coups de voyage, et dont le parc a pus se maintenir grâce à la bienveillance du fisc!

Sont donc présents dans le parc des capybaras et des tapirs terrestres, des gibbon à mains blanches, des gibbons à favoris blancs du Nord, des siamangs, des singes capucins, des makis catta, des makis vari roux, des makis vari blanc et des makis macaco….

Des lémuriens, des wallabies de Bennett, des lièvres de Patagonie, des guanacos, des zèbres de Grant, des oryx algazelle, des yacks, des nilgauts, des lamas, des watussis, des chameaux et des cerfs sika du Japon, des pandas roux…

Vous l’aurez compris: ce parc animalier est un zoo, voire un parc d’acclimation digne de l’époque des rois de France. Que la « Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme »soit la « véritable pierre angulaire du développement du pôle éducatif de Branféré » montre la nature de ce « paradis des animaux » qui serait un « pôle majeur d’éducation à l’environnement »!

Et pour finir, voici le menu de ce restaurant conçu pour être « au plus près des animaux »… qui montre que pour Nicolas Hulot, finalement, l’écologie c’est manger un « jarret de porc » dans un zoo avec des animaux exotiques!

Menu saveur

Kir de bienvenue

Entrée au choix

• Verrine terre mer (soufflé de carottes, moules, crevettes roses, chair de crabe)

• Charcuterie de nos campagnes

• Tartare de lieu jaune sur lit de légumes de saison

Plat au choix

• Suprême de volaille au poivre vert, pommes de terre en robe des champs

• Pavé de saumon rôti au beurre d’algues, quinoa aux herbes

• Jarret de porc en kig ha farz

Dessert au choix

• Tarte à l’ancienne (pomme et noix)

• Coupe de saison (fruits frais, chantilly, caramel au beurre salé)

• Pain perdu aux épices et fondant citron

Eau, vins et café

Menu gourmet

Kir de bienvenue

Entrée au choix

• Papillote de Saint-Jacques à la fondue de poireaux

• Mille-feuille de jambon cru aux pousses de légumes

• Croustillant de chèvre chaud et tapenade

Plat au choix

• Magret de canard au miel, galettes de pommes de terre et céleri

• Filet de dorade au lard, sauce champignon, riz sauvage

• Médaillon de mignon de porc au cidre, flan de courgettes

Dessert au choix

• Fondant chocolat à la crème d’orange

• Éventail de poire pochée au vin, coulis au thé et pain d’épices

• Crumble pommes, bananes, glace noix de coco

Eau, vins et café

Menu enfant*

Plat au choix

• Jambon

• Hamburger

• Escalope de volaille

Accompagnement au choix

• Frites

• Légumes verts du jour

Dessert au choix

• Glace

• Gâteau au chocolat

Jus de fruits

* enfant de 4 à 12 ans incl