Financement de pseudos recherches sur le réchauffement climatique

Le réchauffement climatique est une réalité, mais évidemment la quête du profit amène à nier cette réalité (bien que maintenant, cela soit de plus en plus dur). Exxon Mobil Corporation, la première compagnie pétrolière mondiale, a ainsi financé en 2008 des recherches remettant en cause le réchauffement climatique, finançant à hauteur de 75 000 dollars aux recherches du NCPA – National Center for Policy Analys, situé à Dallas (Texas) –, de 50 000 dollars à celles de l’Heritage Foundation et de 245 000 dollars à celles de l’American Enterprise Institute for Public Policy Research,

Le NCPA dit des choses comme: « si les causes et les conséquences de la tendance au réchauffement climatique sont encore inconnues, le coût des actions visant à réduire sensiblement les émissions de CO2 serait très élevé et entraînerait le déclin économique, l’accélération de la destruction de l’environnement, et n’aurait que peu d’effet sur le réchauffement global, quelle que soit sa cause« .

Heritage Foundation affirme des choses comme: « Un nombre croissant de preuves scientifiques mettent en doute la menace du réchauffement climatique, notamment le fait que l’année 2008 est plus froide que l’année 2007« .

Comme on le voit, il s’agit bien d’une bataille culturelle!

Interview de Path of Perfection

Le mouvement Hardline est un serpent de mer de la culture Vegan Straight Edge. Il s’agit en fait de gens qui ont quitté la scène Vegan Straight Edge durant les années 1990, pour créer leur propre mouvement, le Hardline tout d’abord, puis une nouvelle définition, le terme de Hardline n’étant plus vraiment assumé.

Ce qu’on appelle Hardline conserve les principes Vegan Straight Edge mais y associe deux élements: tout d’abord, la politique, avec une culture qui est celle de l’extrême-gauche américaine armée (Weather Underground, Black Liberation Army…).

Ensuite, la religion: l’Islam, dans une optique très… Gaïa; selon les partisans de ce style de vie puisque Dieu a créé chaque être vivant, alors il faut justement respecter chaque être vivant.

Evidemment, c’est ici en fait le chemin inverse qu’on a: ne trouvant pas d’idéologie adéquate, ce mouvement a pioché et synthétisé le tout. Ce qui donne parfois lieu à des bricolages: comment par exemple justifier les sacrifices d’animaux de l’Islam? La défense de toute vie innocente a également amené le mouvement hardline puis « post hardline » à s’opposer au droit des femmes à l’avortement, tout en prônant pourtant de l’autre côté une éthique anti-capitaliste, anti-raciste, anti-sexiste, anti-spéciste.

Voici donc une interview de Path of Perfection, qui est le principal label et la distro de ce mouvement, qui agrège des sympathisants principalement aux USA, en Amérique latine et en Russie.

L’interview est sans aucun doute un peu fastidieuse, en raison des tournures d’esprit très religieux. Mais le mouvement hardline est en tout cas la preuve d’une exigence: celle de lutter pour Gaïa!

Rapport de l’UICN

L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature a publié un nouveau rapport: selon elle plus de 800 espèces de plantes et d’animaux se sont éteintes au cours des cinq derniers siècles et près de 17 000 sont désormais menacées d’extinction, dont un tiers d’amphibiens, plus d’un huitième des espèces d’oiseaux, et presque un quart des mammifères.

Le rapport indique également qu’il ne s’agit pas d’une liste complète puisque seulement 2,7% des 1,8 millions d’espèces connues à ce jour dans le monde ont été étudiées. « Le nombre d’extinctions est une sous-estimation grossière mais il fournit un aperçu utile de ce qui est en train d’arriver à toutes les formes de vie sur Terre ».

L’étude est par contre (et évidemment) établie sous l’angle du profit, et les auteurs ne s’en cachent pas: « C’est beaucoup plus grave que la crise économique ou la crise financière (…). Vous pouvez perdre une industrie centre mais vous pouvez aussi en reconstruire une. Dans la nature, si vous en perdez une, vous la perdez, et vous perdez beaucoup de capital qui ne peut pas être remplacé ».(Jean-Christophe Vie, éditeur du rapport).

Des chiens golden retrievers exploités en raison de l’individualisme

« Les chiens sont d’une patience incroyable, explique une éducatrice spécialisée. Les enfants peuvent leur attraper la queue, leur tirer les oreilles et les poils, les chiens ne disent rien ! »

Voilà encore des propos hallucinants d’exploitation débridée qu’on peut lire dans un article au sujet des animaux « au service » des humains, en l’occurence d’enfants polyhandicapés. Des enfants lourdement handicapés physiquement et mentalement, la majorité d’entre eux en fauteuil roulant et ne pouvant pas parler….

Des enfants dont les humains « bien portant » ne s’occupent pas, préférant l’individualisme forcené!

Une expérience où on a demandé l’avis ni des chiens, ni des enfants d’ailleurs: « les enfants ont dû appréhender leur peur et aller à la découverte de l’animal ».

L’hôpital pour enfants et adolescents polyhandicapés de La Roche-Guyon reçoit en fait le prix Hélioscope d’une valeur de 7 500 € pour la création de l’atelier Chiens câlins, chiens malins. La cérémonie a eu lieu au musée du Quai Branly, en présence de Bernadette Chirac, la présidente de la fondation.

Mais les chiens, eux, étaient interdits de présence… Ce qui est tout un symbole!

Et une des éducatrices de dire même, avant la cérémonie: « On aurait voulu venir avec un des chiens, mais les animaux sont interdits dans la salle. C’est dommage car ils ont le droit eux aussi à leur part de gloire »…

Comme s’il y avait de la « gloire » à exploiter les animaux, comme si elle-même était concernée par cette gloire, alors que tout montre que les animaux sont capables d’émotions et de solidarité, et les humains pour l’instant seulement d’intelligence au service de l’individualisme!

Une tortue-alligator dans la Seine

Après le chameau sur la voie ferrée de la banelieue parisienne ou bien le serpent dans un arbre du parc parisien des Buttes Chaumont, cette fois c’est dans la Seine, à Paris au niveau du pont Bir Hakeim, qu’on a encore retrouvé un animal n’ayant rien à faire là: une tortue-alligator. Selon le quotidien Le Parisien, « La «chose» porte une carapace couverte d’écailles pointues. La tête ressemble à celle d’un crocodile. »

Comment cet animal, qui vit dans l’eau douce, dans le sud-est des Etats-Unis, a-t-il terminé dans la Seine? La réponse en est simple, encore une fois il s’agit de la responsabilité des humains!

Et, comme d’habitude dans ces cas là, l’animal a atteri, après l’intervention des pompiers, dans un magasin qui en deviendra le possesseur (et donc le revendeur): la ferme tropicale, dans le 13ème arrondissement de Paris…