Russie : Air France-KLM face à leurs crimes à Moscou !

Le site Air Souffrance relaie les multiples initiatives de lutte contre les compagnies qui transportent des animaux qui devront subir la vivisection. Voici entre autres une action qui a eu lieu la semaine dernière à Moscou, notamment contre Air France.

Le 3 juin des militants d’Alliance For Animal Rights Russia ont manifesté devant les bureaux d’Air France-KLM à Moscou.

Les manifestants ont demandé à l’entreprise d’arrêter de transporter des animaux pour des expériences cruelles.

Les défenseurs des droits des animaux tenaient des pancartes avec comme slogans « Air France-KLM – les avions de la mort », « Air France-KLM stop au commerce cruel », « Prenez conscience de leurs souffrances ! », « Vos avions sentent la mort », « Ne voyagez pas avec Air France-KLM ».

Les activistes ont distribué des tracts aux passants, les ont mis au courant des affaires violentes d’Air France-KLM et leur ont demandés de ne pas utiliser les services de cette entreprise.

La manifestation s’est déroulée sous forme de mise en scène théâtrale, qui montrait la vie de misère et de souffrance des animaux de laboratoire. Des personnes déguisées étaient assises dans des cages et imitaient les cris des animaux de laboratoire torturés pour attirer l’attention des employés d’Air France-KLM.

Un « vivisecteur », la « Faucheuse » (qui est une amie d’Air France-KLM!) et un « PDG » ont aussi eu un rôle à jouer dans la mise en scène.

Les employés ne s’attendaient pas à voir des défenseurs des droits des animaux devant leurs bureaux et étaient étonnés de voir cette scène. Un employé a filmé la manifestation avec son caméscope.

Des journalistes étaient présents et ont essayé d’interviewer les cadres de l’entreprise, malheureusement ces derniers ont refusé toute déclaration. L’entrée des bureaux était protégée par une équipe de sécurité et de nombreux employés ont quitté le travail par la porte arrière.

Les militants ont essayé de donner la « Lettre ouverte aux représentants d’Air France-KLM » aux employés, mais ils n’ont pas eu le droit d’entrer dans les bureaux sans aucune explication.