Un témoignage sordide

Hier dans le Gard, quelqu’un a été condamné à 30 ans de réclusion en raison d’un meurtre. Il s’agit d’un homme qui a tué sa femme devant leur enfant âgé d’alors deux ans, qui depuis a des cauchemars où justement il voit son père tuer sa mère.

L’enfant a par la suite été enlevé à la garde du père, en raison d’inceste… Le père sera condamné alors à quatre années de prison, jusqu’au nouveau procès en raison des cauchemars. Le père, qui s’est rétracté depuis, a raconté ainsi ce qu’il a fait du corps de la mère :

«J’ai découpé le corps en morceaux, ça a duré toute la nuit. J’en ai mis dans des conteneurs publics, j’en ai donné aussi aux chiens. De la viande crue et j’en ai aussi fait cuire pour les chiens».

Une démarche terriblement barbare, mais ce n’est pas le seul détail sordide. Voici ce que raconte à son sujet un proche :

Tout au long de la semaine, c’est toutefois un personnage inquiétant qui a été dépeint aux jurés gardois.

«Il saignait les moutons vivants dans sa cuisine. Il les découpait en morceaux et les congelait… Un jour, il a pendu un petit chien qui aboyait trop, selon lui. Comme il ne mourait pas assez vite, il l’a achevé à coups de pelle… Une autre fois, il a pendu une chèvre par les pattes arrières et l’a éviscérée vivante…», est ainsi venu témoigner un ancien proche à la barre.

C’est indéniablement terriblement sordide. C’est même tellement affreux qu’on peut se demander pourquoi on raconte cela… Seulement, il est nécessaire de connaître cette réalité.

La personne en question habitait dans une vieille maison d’un petit village, et vivait en élevant des chèvres et des volailles. Il n’est pas difficile de voir comment cette personne a pu être alors prisonnière d’une culture vraiment barbare, parce que le « terroir » il n’y a que les fachos pour en faire un idéal.

Rapport de force et brutalité, mœurs frustes… Sont le lot quotidien, tout autant que dans les villes les mœurs sont raffinées et opportunistes.

Ce n’est pas le paradis, on le savait déjà. Et beaucoup de gens n’osent pas devenir vegan, par peur d’avoir encore plus à ressentir de la souffrance dans ce monde affreux.

Mais il n’y a pas le choix, il faut changer ce monde, et vite ! Se débarrasser de la cruauté!

Et ce n’est nullement sectaire que de dire cela, et d’affirmer que la libération animale est une morale supérieure à tout cela… bien au contraire !

Une société qui protège les animaux et célèbre la Nature, voilà un vrai futur positif à réaliser !

Parfois, on fait face à l’argument comme quoi ceux qui aiment les animaux n’aimeraient pas les humains. Sauf que les assassins ont très souvent eu d’abord comme « école du crime » la barbarie contre les animaux!