Le vaccin contre la grippe porcine : c’est non !

Vous le savez, la Terre d’abord n’est pas qu’un site qui est l’expression de gens qui se contentent de se dire vegan straight edge. Nous sommes également pour la libération de la Planète.

Et cette compréhension de la nécessité de l’écologie radicale nous fait dire : le vaccin c’est non !

Quel est le rapport ? En fait, c’est simple : tout est lié. Les vaccins sont le produit des laboratoires dont le but est simplement le profit, d’entreprises saccageant la planète, massacrant les animaux.

Il ne s’agit pas d’être vegan dans son coin, mais de comprendre qu’il n’y a pas de veganisme sans libération animale, et pas de libération animale sans libération de la Terre.

Et que voit-on ? Que les scientifiques sont au service des pillards et des assassins, tout comme l’Etat est à leur service.

Bien sûr, tout ce petit monde là est obligé d’avoir un minimum de réalisme, de crédibilité. Mais leur accorder une confiance absolue relève de la folie.

La Terre d’abord prend donc position et le vaccin contre la grippe porcine c’est non, parce que sa création ultra-rapide est opaque et aucunement fiable, que tout est caché jusqu’à la question de savoir s’il sera obligatoire, qu’absolument rien n’est démocratique.

Nous ne sommes pas PETA, pas Droits Des Animaux, pas une association simplement défensive, etc., c’est-à-dire des gens se cantonnant à un thème particulier justifiant les pires attitudes de l’autre (notamment le sexisme pour les uns, la tolérance de racistes pour les autres, etc.).

Nous sommes des gens luttant pour la libération animale et la libération de la planète, et dont la vie privée tente d’être au maximum en adéquation avec nos principes. Quand on est vegan on l’est tout le temps, et cela a des conséquences dans ce qu’il faut assumer.

Et ces principes nous ne sommes d’ailleurs pas les seuls à en comprendre l’importance. De l’agro-alimentaire à la santé, le système fondé sur le profit craque de partout. Même chez les infirmières on a des critiques acerbes face à la politique de vaccination. On peut lire également à profit la tentative d’une analyse « neutre » du docteur Marc Girard « Grippe « porcine » : vacciner ou pas ? »

Ce document tente de calculer ce que nous faisons tous : faut-il prendre le vaccin, alors que celui-ci amène lui-même des risques importants, ou pas ? Qu’est-ce qui est le plus risqué : le prendre, ou pas ?

Et on peut y lire une chose très vraie :
« Par rapport à une profession – la pharmacie – soumise à un contrôle réglementaire depuis des siècles au moins, c’était probablement la première fois, dans l’histoire de l’humanité, qu’un objectif purement mercantile se trouvait ainsi posé au même niveau que l’impératif catégorique de préserver la santé publique. »

Et c’est intéressant car il tente de garder la tête froide et de se préserver autant du discours officiel que des sectes et autres hystériques délirants :

« Il est parfaitement exact que les anti-vaccinalistes ne brillent pas toujours par la qualité de leur information ou la profondeur de leur réflexion (cf. note 10), et il est facilement documentable que l’opposition frontale aux vaccins est un élément quasi incontournable du programme commun aux critiques du système académique (médecines « parallèles » ou « holistiques », sectes – pour ne point parler des paranos qui pullulent sur la toile). Aux yeux d’un professionnel du médicament, cependant, il est non moins exact que la promotion vaccinale – émanât-elle des plus prestigieuses instances de l’institution académique ou universitaire – se signale par un illogisme rare assorti d’une exceptionnelle absence de sens critique et d’une méconnaissance préoccupante du développement pharmaceutique. »

De manière intéressante, on voit que l’auteur de cet intéressant article prône les tests sur les animaux. Cela montre qu’il n’a pas compris le système général que représente les entreprises pharmaceutiques et l’agro-alimentaire. Car la vivisection est un crime servant à gérer au mieux les produits de plus en plus absurdes produits par ces entreprises…

En tout cas, nous vous engageons une réflexion à ce sujet. Depuis la source du problème – les fermes industrielles et la réduction en esclavage des animaux – jusqu’aux « solutions » que seraient l’industrie pharmaceutique. Il y a de nombreuses questions à se poser !