Le 4 octobre dernier c’était la prétendue journée mondiale des animaux. Créée en 1931 cette journée a pour but de dénoncer les atrocités commises envers nos amis les animaux. Force est de constater que depuis les choses n’ont guère évoluées; même si quelques amendes et rares peines d’emprisonnement commencent à apparaître.
Pourtant, si actuellement l’écologie est à la mode (surtout pour le futur et le bien-être de nos enfants!), ce prétendu respect de notre Terre n’inclut pas le respect des animaux. Et les rubriques « faits divers » continuent d’afficher leur étalage morbide.
Ainsi, le mois dernier à Alberville un chat a été retrouvé éviscéré et découpé en morceaux. L’assassin faisant étalage du corps d’un côté, des pattes de l’autre et la tête empalée gueule ouverte. Cet individu aurait, dans un premier temps, détérioré des arbres à coups de hache, avant de s’en prendre au pauvre félin.
Par ailleurs, ce week-end dans le Gard des habitants ont trouvé le corps d’un sanglier qui a été « matraqué, saigné, lacéré, éventré et brulé ».
Cet acte barbare a poussé le maire de la commune, Robert Pizard-Deschamps, a porter plainte contre X auprès de la gendarmerie de Laudun l’Ardoise.
Si les actes de cruauté envers les animaux ne diminuent pas, l’exploitation de ceux-ci au nom de la « bonne bouffe » (la mode était aux produits animaux issus de l’agriculture biologique) ou au nom de la « conservation/protection » des espèces avec les zoos est aussi en plein boom (l’argument étant qu’ils n’ont plus de milieu naturel pour vivre).
Alors contrairement à l’opportunisme de PeTA ou de Nicolas Hulot qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et qui au fond se soucie bien peu des animaux, il serait grand temps de mettre en place de vraies valeurs de respect et d’intouchabilité envers les animaux. Et le seul un véganisme radical le peut.