La maladie d’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer est terrible, et elle est d’autant plus terrible qu’elle est une de ces maladies modernes où la science tourne au charlatanesque.

Quand on lit wikipedia, on lit par exemple que:

Bien que les causes exactes de la maladie d’Alzheimer restent encore mal connues, on suppose que des facteurs génétiques et environnementaux contribuent à son apparition et à son développement.

Ce qui ne veut absolument rien dire, puisqu’on se doute bien que ce ne sont pas les extraterrestres qui en sont la cause. En fait on voit surtout que Wikipédia tente de ménager les partisans du totalement délirant tout génétique, et ceux et celles qui ont compris l’importance de la question environnementale.

La maladie d’Alzheimer est une maladie récente et se développant dans les « pays riches »… D’où d’ailleurs la mentalité consistant à exiger des « solutions » aux laboratoires.

On peut ainsi lire sur le site canadien de la Société Alzheimer:

Il est malheureux que des études antérieures sur les animaux aient porté sur un animal qui est particulièrement susceptible à l’empoisonnement par l’aluminium, ce qui a entraîné de fausses conclusions sur les effets généraux de l’aluminium sur le corps.

Aucune compassion, mais une « volonté de résultat », voilà également ce qui est un pilier de la logique de la vivisection. Aucune science, mais des recherches partant dans tous les sens, testant tout et n’importe quoi, n’importe comment.

Dans le même genre, Sciences & Avenir publie un article tout autant lamentable. La problématique de base est plutôt intéressante: une alimentation riche en protéine pourrait réduire la taille du cerveau dans le cadre de la maladie d’Alzheimer.

Mais il suffit de lire l’article pour comprendre que dans l’étude rien ne rime à rien, à part en ce qui concerne les souris « transgéniques » qui auront été massacrées.

L’article lui-même montre sa valeur dès le départ en disant que comme les tests ont été faits sur les (pauvres) souris, il faut prendre « les précautions habituelles » ; puis aucune conclusion claire ne se dégage de l’étude, à part que l’alimentation joue peut-être un rôle, que finalement on ne sait rien et que tout est hypothèse, etc.

Ce mépris pour une science correcte, logique, sérieuse, authentique et donc non fondée sur le massacre des animaux, fait qu’aujourd’hui les chercheurs liés aux labos ne « voient » pas l’impact possible des vaccins (dont certains sont de plus en plus considérés comme responsables de l’autisme), mais surtout des amalgames dentaires.

Ceux-ci perdent en effet une partie de leur mercure… et sont à ce titre interdit par exemple en Norvège. L’empoisonnement au mercure sera malheureusement sans doute l’une des grandes crises sanitaires des prochaines années, et témoigne d’un vrai problème de fond.