SHAC au sujet du procès contre ses activistes

Traduction du communiqué de SHAC sur le procès, réalisé par les furieuses carottes, un groupe militant.

 

Le travail des entreprises « Huntingdon Life Sciences » consiste à empoisonner des animaux en pleine santé jusqu’à la mort. Ils pratiquent leurs tests à la demande, sur contrat ; ils testent ainsi les produits pour les autres. Ils ont trois sites :2 en Angleterre et 1 aux états unis. 500 animaux sont tués chaque jours par HLS. Ce sont tous des individus avec un cœur qui bat. Pour des gens convenables chacun de ces meurtres est moralement répugnant.

Chaque année HLS tue, parmi tant d’autres, des dizaines de milliers de chevaux, chats, chiens, primates, lapins, hamsters , rats, souris et poissons . Aucune de ces espèces n’a de ressemblance avec l’être humain visuellement parlant ou concernant leur ADN. Les différences et non les ressemblances d’ADN sont cruciales.

HLS a fait les gros titres en 1997 quand ils ont été démasqué par un employé muni d’une caméra cachée. Cette mise au grand jour à été faite en diffusant sur la tv national les images de travailleurs faisant d’horribles maltraitances sur des beagles terrifiés.

L’un d’eux est filmé en train de frapper de rage à coup de poings le visage d’un chiot ! Les retombées qui suivirent, dès que le public commença à faire sentir ces objections, ébranlèrent les fondations de cette entreprise lucrative . Les actions d’HLS furent anéanties et ils ne les regagnèrent jamais. Aujourd’hui HLS est incapable d’entretenir des relations commerciales de plus d’1% de leurs actions. C’est une compagnie vraiment très malade.

Stop Huntingdon Animal Cruelty (SHAC) est une campagne de pression publique qui grandit et devint après les révélations en prime time de ce qu’était HLS une initiative imaginative globale et extrêmement efficace. Utilisant une grande variété de tactiques pour attirer l’attention du public et en faisant des opérations d’entraves [aux affaires d’hls] comme les grandes manifestations, les manifestations aux domiciles, diffusions de tracts, les enchainements, les blocages et des envoies massifs d’email SHAC a mis HLS a genoux. Le public informé trouve que les affaires d’HLS répugnantes et ne les laissera pas se remettre sur pied.

Des révélations sur HLS ont été faites aux publics maintes fois. A chaque fois la même histoire revient. La seule conclusion logique est qu’HLS est pourri jusqu’à la moelle.

Il est de notoriété publique que les travailleurs d’HLS ont falsifiés les résultats de leurs tests, qu’il y a parmi eux des délinquants sexuels connus, qu’ils ont mené des tests alors qu’ils étaient ivres, ont été reconnu coupable de cruauté envers les animaux et de consommation de drogues.

De 1995 à 2000 HLS a enfreint pas moins de 520 fois la charte de « bonnes consignes de laboratoire »1 et cela en une seule expérience ! En 2004 le journal « the observer » révéla qu’HLS gaza des beagles pour tester un produit chimiques CFC qui avait été interdit 15 ans plus tôt. HLS a des secrets bien mal gardés…

La législation gouvernementale et l’argent public, sans se soucier de l’évolution de l’opinion publique, sont venus grassement et rapidement pour assurer la continuation de cette ignoble entreprise aux résultats non scientifiques. Les injonctions de la court suprême ont réduit les manifestations devant les grilles d’HLS à quelques heures par semaine.

L’entreprise ne possède désormais plus sa propriété et est réduit à un crédit-bail de la part de ceux à qui elle a vendu les fonds. HLS est obligé d’avoir recours à la banque national anglaise pour signer ses chèques car plus aucune banque populaire ne lui proposera des services bancaires. Le contribuable anglais doit également payer l’assurance d’HLS et pour la police qui dépense des sommes énormes pour harceler des citoyens qui s’expriment contre cette odieuse entreprise.

Il serait judicieux de préciser qu’environ 10 000 personnes meurent chaque année prématurément en Angleterre à cause des médicaments qui ont été testé sur les animaux par HLS et les autres, et qu’ils font passer pour fiable. 10 millions de mort ! Aux États-Unis le nombre est estimé comme étant supérieur à 100 000 avec plus de 2.2 millions d’hospitalisations liées aux effets secondaires des médicaments. Les médicaments testés sur les animaux sont la quatrième plus grandes causes de mortalité en Angleterre après les maladies du cœur, les cancers et les attaques. C’est un scandale.

Si l’on ne parle que du Vioxx il a causé plus de 100 000 morts à travers le monde ! Les activistes de SHAC ont été récemment persécutés sans relâche par les agents du gouvernement sans avoir blessé quiconque. Les activistes de SHAC sont au travail en ce moment dans de nombreux pays et promettent de continuer le programme clairement défini et bien avancé pour fermer HLS.

Gregg Avery, Natasha Avery et Dan Amos ainsi que tous les autres accusés dans cette chasse aux sorcières sont coupables du plus grand degré de compassion. Ils se sont donné complètement pour sauver la vie des autres et révélé la chute programmée de l’expérimentation animale. Ce sont les êtres humains du future. La prison et la menace de la prison n’arrêtera pas les braves de faire ce qu’il semble juste.

L’utilisation future de lois draconiennes pour harceller, détenir, et emprisonner les avocats des animaux comme l’a menacé Elyzabeth Windson dans son dernier discours annuel, ne redressa pas les nombreux torts d’HLS et de l’énorme industrie pharmaceutique ; comme cela ne supprimera pas dans le coeur des hommes et femmes de biens, des jeunes et des vieux le désire de débarasser la société de ce cancer qui dévore tant de vies.

Ces législateurs et ceux qui restent silencieux pendant ces attaques contre la liberté et les droits des animaux vont apprendre qu’il n’y a pas de législation qui retienne l’évolution humaine. Les tests sur les animaux est une vieille théorie qui n’a jamais été prouvé scientifiquement. Des animaux meurent. Des êtres humains meurent. Huntingdon life science est en train de mourir. Le mouvement pour la libération animale est vivant et florissant.

Plus d’information disponible à www.shac.net

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