Il faut malheureusement une catastrophe nucléaire pour que les êtres humains laissent, dans les conditions actuelles, un peu de place aux animaux.
Après la la catastrophe de Tchernobyl, il y a 23 ans, une « zone d’exclusion » avait été mise en place dans un rayon de 30 kilomètres autour de la centrale nucléaire. Vivent ainsi dans la forêt 3000 renards, 600 élans, 450 chevreuils, 40 loups et quelque 3000 sangliers, des ours, des cigognes noires…
Mais évidemment, personne ne se soucie de leur santé… Et derrière le discours lénifiant journalistique sur Tchernobyl comme nouveau paradis pour les animaux, se cachent les radiations, les malformations, la souffrance et la mort, comme conséquence de l’utilisation du nucléaire.