Les ibis sacrés massacrés en France

Les agents de l’Office national de la chasse sont en train de réaliser des tirs de destruction contre les ibis sacrés.

Echappés de réserves ornithologiques (ils ont été installé dans le Morbihan dans les années 1970 au parc zoologique de Branféré et dans l’Aude en mars 1982 au parc zoologique de Sigean), les ibis sacrés se sont acclimatés dans l’ouest de la France (du Morbihan à la Charente-Maritime).

Ce grand n’importe quoi de l’introduction d’animaux, sans aucun respect pour leur écosystème d’origine, amène en fait quelques conflits locaux et les "spécialistes" ont notamment peur de l’aggravation de la situation, qui serait préjudiciable notamment aux sternes, aux Guifettes et aux Ardéidés.

Mais les gestionnaires ne se soucient pas de la liberté des animaux ni de leurs droits, et ne se posent pas la question de la responsabilité humaine dans cette situation.

Il s’agit de gérer le bon fonctionnement de la société et de son économie, et le reste ne compte pas. Environ 3 000 de ces oiseaux, la moitié de l’effectif, ont  donc été éliminés, principalement dans des décharges en Loire-Atlantique et Vendée.

« On n’avait pas de recensement très précis en sortie d’hiver, explique Pierre Yésou, ingénieur à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Les dernières estimations, autour de cinq mille oiseaux, remontent à l’été 2007. Il en a été tiré environ trois mille, entre mars et novembre, soit à peu près la moitié de l’effectif. »

« La plupart des tirs ont été réalisés dans des décharges d’ordures contrôlées en coordination avec les personnels y travaillant (deux en Loire-Atlantique et une en Vendée surtout). Certaines opérations se sont déroulées aux abords des colonies de reproduction. ».

Parlant de la réserve nationale du Lac de Grand, ce responsable explique encore:
« On a là un noyau de fixation. Il sera nécessaire de mener une réflexion sur les actions à entreprendre, au plus vite, pour éviter que Grand Lieu devienne un réservoir permanent à ibis sacrés. »

Et finalement: « On s’attend à plus de difficultés car les oiseaux sont plus dispersés, plus méfiants. »

Mais tout cela ne compte guère aux yeux du gestionnaire, qui gère la mort comme d’autres l’économie.

De la soupe populaire pour les chiens

Quand on parle de soupe populaire, on a tout de suite en tête l’image de familles, de personnes démunies de notre société se mettant en file indienne pour recevoir leur bol de soupe et un peu de chaleur humaine. A Berlin, on sert également de la soupe populaire aux chiens.

Si l’on fait un petit retour en arrière, la distribution de soupe aux plus démunis a fait son apparition vers la fin du XIXème siècle. Mais elle s’est surtout popularisée vers 1929 lors du premier crash boursier. En ces temps de crise de la fin de l’année 2008, une société allemande, "Animal Board", a frappé fort.
L’initiative de Claudia Hollm n’a pas manqué d’attirer l’attention de l’opinion publique. Les critiques fusent de partout mais la directrice de l’établissement n’entend pas céder aux pressions morales. Elle veut aller au bout de son projet qui est celui de distribuer de la soupe gratuite au meilleur ami de l’homme. Interrogée par un correspondant de Reuters, Claudia Hollm clame qu’"on sous-estime l’importance des chiens. Ils sont très importants pour ceux qui n’ont plus de contact social avec d’autres humains".

Plusieurs sociétés notamment des fabricants d’aliments pour animaux se sont ralliées à la cause défendue par Claudia Hollm. Un bon exemple à suivre… Quand on parle de soupe populaire, on a tout de suite en tête l’image de familles, de personnes démunies de notre société se mettant en file indienne pour recevoir leur bol de soupe et un peu de chaleur humaine. A Berlin, on sert également de la soupe populaire aux chiens.

Si l’on fait un petit retour en arrière, la distribution de soupe aux plus démunis a fait son apparition vers la fin du XIXème siècle. Mais elle s’est surtout popularisée vers 1929 lors du premier crash boursier. En ces temps de crise de la fin de l’année 2008, une société allemande, "Animal Board", a frappé fort.
L’initiative de Claudia Hollm n’a pas manqué d’attirer l’attention de l’opinion publique. Les critiques fusent de partout mais la directrice de l’établissement n’entend pas céder aux pressions morales. Elle veut aller au bout de son projet qui est celui de distribuer de la soupe gratuite au meilleur ami de l’homme. Interrogée par un correspondant de Reuters, Claudia Hollm clame qu’"on sous-estime l’importance des chiens. Ils sont très importants pour ceux qui n’ont plus de contact social avec d’autres humains".

Plusieurs sociétés notamment des fabricants d’aliments pour animaux se sont ralliées à la cause défendue par Claudia Hollm. Un bon exemple à suivre… Quand on parle de soupe populaire, on a tout de suite en tête l’image de familles, de personnes démunies de notre société se mettant en file indienne pour recevoir leur bol de soupe et un peu de chaleur humaine. A Berlin, on sert également de la soupe populaire aux chiens.

Si l’on fait un petit retour en arrière, la distribution de soupe aux plus démunis a fait son apparition vers la fin du XIXème siècle. Mais elle s’est surtout popularisée vers 1929 lors du premier crash boursier. En ces temps de crise de la fin de l’année 2008, une société allemande, "Animal Board", a frappé fort.
L’initiative de Claudia Hollm n’a pas manqué d’attirer l’attention de l’opinion publique. Les critiques fusent de partout mais la directrice de l’établissement n’entend pas céder aux pressions morales. Elle veut aller au bout de son projet qui est celui de distribuer de la soupe gratuite au meilleur ami de l’homme. Interrogée par un correspondant de Reuters, Claudia Hollm clame qu’"on sous-estime l’importance des chiens. Ils sont très importants pour ceux qui n’ont plus de contact social avec d’autres humains".

Plusieurs sociétés notamment des fabricants d’aliments pour animaux se sont ralliées à la cause défendue par Claudia Hollm. Un bon exemple à suivre !

Trois chats jetés depuis le troisième étage d’un immeuble rémois

La soirée d’un couple habitant le troisième étage d’un bâtiment à Reims a tourné au drame le vendredi 6 novembre 2008. Peu après 21 heures, deux hommes apparemment sous l’emprise de l’alcool sont entrés en effraction dans leur appartement et s’en sont pris à leurs animaux de compagnie. Les deux malfrats ont jeté par la fenêtre les trois chats de la famille.

Le bilan est lourd : un mort, un blessé grave et un disparu. L’un des trois chats n’a pas survécu à sa chute, le deuxième dans un état critique a été dirigé d’urgence vers un cabinet de vétérinaire et le troisième est introuvable, on ignore s’il est encore en vie ou s’il a aussi succombé à ses blessures.

La police avertie a interpellé les deux brigands. Lors de leur audition, ils ont nié avoir perpétré un tel acte envers les trois chats. Ils ont été libérés après leur garde à vue. L’enquête devra se poursuivre dès que le couple lésé aura déposé une plainte. Les deux hommes risquent une peine de deux ans d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros pour cruauté envers des animaux.

56 ans en liberté, ou 17 ans dans un zoo?

L’espérance de vie des éléphants est beaucoup plus faible dans les zoos que dans leur milieu naturel, affirment des chercheurs dans la revue Science publiée aujourd’hui.

Ils ont comparé le sort de 786 éléphants –africains ou asiatiques- hébergés par des zoos européens avec des éléphants d’Afrique (Loxodonta africana) vivant dans le cadre protégé du parc d’Amboseli, au Kenya, et avec des éléphants d’Asie (Elephas maximus) utilisés dans les forêts de Birmanie pour l’exploitation du bois.

Il ressort de l’analyse des chercheurs que les femelles Loxodonta africana vivent 56 ans en moyenne à Amboseli et moins de 17 ans dans les zoos. Cependant ces moyennes sont calculées sur des données allant de 1960 à 2005 et les conditions de vie des éléphants se sont beaucoup améliorées dans les zoos.

Ainsi, si l’on ne prend en compte que l’année 2005, l’écart est moins important mais la mortalité reste plus élevée en captivité (2,8 fois plus).

Selon l’étude de Clubb et Mason, la situation est plus délicate pour les éléphants d’Asie. L’espérance de vie des femelles Elephas maximus est de 19 ans dans les zoos et de 41,7 ans pour les éléphants birmans transporteurs de grumes. Surtout, la mortalité des jeunes est plus élevée dans les zoos, selon les chercheurs, et elle est aggravée par les transferts d’animaux qui séparent les petits de leurs mères.

Et pourtant, l’étude n’est pas pour l’abolition des zoos !

Le sucre (blanc, ultra raffiné) : une drogue

Le sucre pourrait créer une dépendance. Selon Bart Hoebel, professeur de psychologie à l’Université de Princeton, "manger du sucre à l’excès peut agir sur le cerveau d’une façon similaire à l’usage des stupéfiants comme la cocaïne et la héroïne".

L’étude a été présentée mercredi 10 décembre lors de la réunion annuelle du Collège Américain de Neuropsychopharmacologie, à Nashville aux Etats-Unis.

Non seulement on le savait déjà, mais en plus l’étude se fonde sur… l’expérimentation sur les animaux!!

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Côte d’Or: 18.800 sangliers seront assassinés en 2008/2009

Les chasseurs de Côte d’Or seront autorisés à abattre quelques "18.800 sangliers en 2008/2009", selon le plan de chasse actualisé de la commission départementale, en "augmentation de 47%" par rapport à l’an dernier, a indiqué mardi la préfecture dans un communiqué.

"Ce sont près de 18.800 sangliers qui figurent au plan de chasse de Côte d’Or en 2008/2009, en augmentation de 47% par rapport à la saison 2007/2008", a précisé la préfecture.

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La martre et la belette retirées de la liste des animaux nuisibles

La martre et la belette ont été retirées de la liste nationale des animaux susceptibles d’être classées nuisibles par les préfets, selon un arrêté du 2 décembre publié jeudi au Journal Officiel.

La liste nationale des espèces nuisibles est déclinée au niveau départemental par les préfets, qui autorisent ou non la chasse d’espèces de cette liste (renard, rat musqué, ragondin, corneille, corbeau freux, pigeon ramier, geai, pie, etc) par des moyens interdits normalement à la chasse, tels que les pièges ou les nasses pour les oiseaux.

La martre, la belette et le putois avaient été retirés de la liste des animaux nuisibles en 2002 par Yves Cochet, alors ministre de l’Environnement, avant d’être rétablis par Roselyne Bachelot à son arrivée au même ministère. Ces espèces sont chassées pour leur fourrure.

En attendant, le putois reste très menacé.

« La Fédération Française de Lancer de Chiots »

Facebook est une plate-forme initialement utilisée par les couches sociales "upper class" et on voit bien la mentalité antisociale.

Parmi les groupe classés dans la rubrique "Sports extrêmes", on trouve ainsi "la Fédération Française de Lancer de Chiots", qui regroupe 243 membres qui n’ont rien d’autre à faire.

La violence contre les animaux est donc censée être prétexte à une "blague" de gens dont l’humour se résume à la culture potache des grandes écoles: on aurait droit à une  "une discipline olympique" et parle même d’un hypothétique jumelage avec un régiment de parachutistes d’infanterie de Marine de Carcassonne afin "de mieux faire connaître au grand public toutes les arcanes de ce sport méconnu".

La SPA a assuré pour le coup avec une protestation  à Facebook: "Les animaux une fois de plus font les frais du malaise d’une société en perte de repères, c’est inacceptable et nous devons réagir!"

Eco-Emballages aurait placé de l’argent dans des paradis fiscaux

Des dizaines de millions d’euros placés dans des paradis fiscaux. L’organisme Eco-Emballages, qui gère les contributions des entreprises pour les redistribuer aux collectivités locales effectuant la collecte et le recyclage, a été sévèrement pointé du doigt mardi par le ministère de l’Ecologie.

Le conseil d’administration d’Eco-Emballages a en effet informé mardi le ministre de l’Ecologie, Jean-Louis Borloo, d’un risque de perte lié à des "placements non sécurisés d’une partie de la trésorerie dans des paradis fiscaux", mais s’est défendue de "toute forme d’illégalité ou de malversation".

Une révélation qui "témoigne de l’insuffisance du contrôle des éco-organismes", a estimé mercredi France Nature Environnement (FNE), qui regroupe la plupart des associations écologistes françaises.

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La Réunion: contre l’errance animale

Une femme laisse son chien sortir dans la rue.

Abandonné, l’animal se retrouve alors confronté à toutes les affres de la divagation : faim, maladie, morsure, accident de voiture, captation par la fourrière. Une spirale infernale qui le conduit vers une euthanasie certaine.

Voici le scénario catastrophe que vous aurez l’occasion de découvrir pendant un mois sur vos écrans (avec une déclinaison radio). La direction des services vétérinaires (DSV) a lancé une campagne de communication afin que les Réunionnais prennent conscience des risques inhérents à l’errance animale : chiens renversés, image néfaste pour le tourisme ; enfants mordus, propagation de maladie (ex : gale, teigne ou larva migrans) euthanasies, attaques d’espèces protégées (tuit-tuit ou Pétrel de Barau) par des chats revenus à l’état sauvage…

Pour la première fois, des images réelles d’animaux écrasés ou euthanasiés sont diffusées.

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Mougins: les animaux éjectés par la mairie?

Ou quand des logements sociaux sont opposés aux animaux, tout cela à cause des promoteurs…

En théorie, la SPA (société protectrice des animaux) devait quitter le refuge actuel à Mougins au 31 juillet. En pratique, les deux cents animaux sont toujours là, la construction de la nouvelle structure à la Valmasque est bloquée et le maire de Mougins s’impatiente.

Richard Galy rencontre aujourd’hui la présidente nationale de la SPA. Virginie Pocq Saint-Jean espère bien obtenir un délai supplémentaire pour « trouver une solution et ne pas mettre 91 chiens et une centaine de chats dans la rue.» Mais le problème est complexe.

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« La nappe devrait se résorber d’elle-même »

Les Verts des Hauts-de-Seine font part de leur colère à l’annonce de la pollution de la Seine survenue jeudi 4 décembre, avec apparition d’une nappe d’hydrocarbures entre Suresnes et Courbevoie.

L’AFP et les médias ont rapporté en fin de semaine l’absence de réaction des services préfectoraux concernés qui affirment que "la nappe devrait se résorber d’elle-même" !

Les circonstances de cette pollution ne sont pas transparentes à ce jour pour le grand public, pas plus qu’il n’y a eu d’informations précises sur l’origine du rejet, la nature précise des substances rejetées, leur quantité, leur impact sur la biodiversité du segment de fleuve concerné et les dispositions prises pour éviter que ce type de problème ne se reproduise.

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PETA et Britney Spears

PETA en rajoute encore une couche dans le ridicule, avec cette fois Britney Spears présentée comme une figure opprimée devant par conséquent comprendre l’oppression des animaux.

"Britney est une victime des paparazzi, ajoute le texte, et elle se plaint et pleure tout le temps à cause du fait qu’elle est bloquée dans une maison gardée et qu’elle ne se sent pas libre, elle devrait être capable de comprendre l’horreur des animaux quand ils sont utilisés pour le divertissement. Sauf que Britney a choisi de chanter et d’avoir le mode de vie qui va avec. Les animaux sont séparés de leur mère à un très jeune âge, enchaînés et frappés par des électrochocs"

Torture

Faut-il avoir été déshumanisé pour se comporter comme ces lycéens qui ont accroché un jeune rat à des pétards, filmant même leur méfait. Une attitude barbare, où l’émotion et les sentiments n’ont plus leur place, cédant la place au jeu cruel avec des êtres vivants transformés en objet.

 

 

La religion est contre les animaux

La fête de l’Aïd El Kébir rappelle à quel point la religion est néfaste tant pour les êtres humains que pour les animaux. Au Maroc, la misère règne, mais quelque 5 millions d’ovins (4,6 millions) et de caprins (400.000) vont se faire tuer pour une fête "obligatoire".

La fête devrait générer en 2008 un chiffre d’affaires supérieur à 7 milliards de dirhams (640 millions d’euros) et bien souvent il faudra emprunter pour acheter un animal, car il faut compter de 2.500 à 5.000 dirhams (de 227 à 454 euros) voire plus pour un bélier.

L’Etat marocain s’occupe bien entendu de cette gestion religieuse de la vie, avec une campagne de vaccination qui a permis d’immuniser 19 millions de bêtes (sur un cheptel total de 22 millions de têtes) contre la peste des petits ruminants (PPR, peste ovine).

Endettement des pauvres, meurtre des animaux, conditions d’hygiènes catastrophiques: voilà un panorama religieux.

Jamais sans mon chien: une critique hallucinante et fou furieuse

Quiconque a eu affaire à la SPA sait à quel point il y a une dimension "éducatrice" totalement élitiste. A la SPA on sauve des animaux mais de l’autre on mange de la viande, sans parler du cuir, du lait etc., et après on prend les gens pour des cons et le peuple pour un ramassis d’ignares.

Mais critiquer la SPA doit se faire sur une base vegane.

Ici, à l’inverse, un article absolument édifiant, un billet d’humeur d’un sorte de macho hallucinant expliquant que la SPA n’est composée que d’un ramassis de femmes "mal baisées", de "quiches zoophiles"!

Le tout parce que l’auteur de l’article, qui se présente comme un "anarcho-réactionnaire" (en français on dit fasciste, c’est plus court et plus parlant, et plus franc surtout!), considère que son chien est anarchiste et qu’il a le droit de se promener dans la rue, quitte à se faire écraser par un "38 tonnes" car tel est le prix de la liberté!

 

ONU : 21 animaux supplémentaires reconnus en danger d’extinction

Vingt et une nouvelles espèces animales, dont le guépard, trois familles de dauphins et un vautour égyptien, ont été placées sur la liste des espèces en voie d’extinction par la IXe Conférence de l’ONU sur la conservation des espèces migratoires qui s’est conclue vendredi à Rome.

Les lamantins et six autres familles d’oiseaux ont été également placés sur cette liste des animaux devant bénéficier d’une protection absolue (dite liste I) tandis que l’année 2009 a été proclamée "année du gorille" pour aider à la survie des derniers 6.000 gorilles de la planète.

Plusieurs familles de requins ont été inscrits sur la liste II des espèces menacées.

Il s’agit notamment de deux familles de requins Mako de la Méditerranée dont la population a décru de 96% en quelques années en raison de la surpêche.

La Conférence a également adopté plusieurs résolutions, dont l’une vise à réduire la pollution sonore des océans provoquée notamment par les navires, et qui a pour effet de perturber gravement la vie et de menacer la survie de plusieurs espèces de mammifères marins, en particulier les baleines et les dauphins.

Tout en se félicitant de l’adoption internationale de mesures de renforcement de la défense des espèces marines protégées, la Société pour la Conservation des baleines et des dauphins (WDCS – Whale and Dolphin Conservation Society) a regretté que les gouvernements n’aient pas décidé d’y affecter des ressources suffisantes.

"Il est déconcertant de constater que le budget total de la Convention sera de moins de 7 millions d’euros et que les projets de conservation disposeront pour les trois ans à venir de moins de 170.000 euros" a déploré Nicolas Entrupp, le porte-parole du WDCS.

Il a estimé que "ces montants dérisoires étaient une gifle" pour l’avenir de la conservation des espèces menacées.

Un grand parc éolien en Eure-et-Loir

Le parc du Chemin d’Ablis, situé sur huit communes du département, comprend 26 éoliennes qui longent l’autoroute A10 sur 17 km.  Avec 52 MW, il est "le plus grand parc éolien français".

Le parc du Chemin d’Ablis est le deuxième d’envergure mis en service en 2008 en France, après celui de Villesèque (Lot) en juillet, doté d’une capacité installée de 50 MW, rappelle EDF EN.

Un troisième parc, celui de Salles-Curan (Aveyron), qui devrait être opérationnel d’ici la fin 2008, surpassera les capacités installées en Eure-et-Loir, avec 87 MW et 29 éoliennes.

Le parc éolien français comptait fin 2007 quelque 2.500 MW de capacités installées, selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). L’objectif est de les porter à 17.000 MW en 2015.

Ici un site qui fournit les statistiques sur les éoliennes dans le monde.