Le scandale de la dioxine en Allemagne

Le scandale de la dioxine, dont nous parlions hier, continue en Allemagne. Ce sont désormais 4700 fermes-usines qui sont fermées !

On sait désormais que les oeufs contaminés ont été notamment vendus aux Pays-Bas et au Royaume-Uni. Mais il y a également des cochons qui sont concernés, car la nourriture contaminée leur a également été donnée. Ce qui signifie que la contamination ne concerne pas que les oeufs : il y a au moins 9500 cochons qui ont déjà été tués et « transformés en viande » puis mis en vente.

Il est de plus en plus clair que c’est un vrai massacre qui est en train d’être programmé. Les usines tournent à plein rendement ; l’arrêt provoqué par la crise de la dioxine désorganise la production, et les êtres vivants martyrisés apparaissent comme de terribles victimes.

C’est tout le système de l’exploitation animale qui révèle son monstrueux visage.

La dioxine et l’industrie alimentaire fondée sur l’exploitation animale

Dans le mouvement pour la libération animale, on se méfie (à juste titre) de ceux qui relient le véganisme (simplement) à une question de santé, oubliant les animaux.

Mais cela ne veut pas dire pour autant que le véganisme ne pose pas la question de la nature et donc de la santé. Reliée à la libération de la Terre, la libération animale rejette l’exploitation animale et dénonce par là même la situation de la santé imposée par cette exploitation.

On a un exemple de la barbarie actuellement avec ce qui se passe en Allemagne, où plus de 1200 fermes-usines de poules, cochons et dindes ont dû fermer, en raison d’une contamination à la dioxine de la nourriture des animaux. On a donc ici un exemple typique de comment la machinerie économique de l’exploitation animale s’effondre sous le poids de ses contradictions.

Un producteur de nourriture pour les animaux esclaves, du nom de Harles & Jentzsch, a utilisé une huile non alimentaire, destinée normalement aux imprimeries ; la dioxine est en effet cancérigène, et on en trouvait par exemple dans l’Agent orange dont nous parlions il y a quelques jours. L’incinérateur de Gilly-sur-Isère a également causé un empoisonnement à la dioxine.

Voici le point de vue de l’Organisation Mondiale de la Santé concernant la dioxine :

Principaux points

  • Les dioxines constituent un groupe de composés chimiquement apparentés qui sont des polluants organiques persistants dans l’environnement. Dans le monde entier, les dioxines sont présentes dans l’environnement et elles s’accumulent dans la chaîne alimentaire, principalement dans les graisses animales.
  • Plus de 90% de l’exposition humaine passe par l’alimentation, principalement la viande, les produits laitiers, les poissons et les fruits de mer. De nombreuses autorités nationales ont mis en place des programmes pour surveiller l’approvisionnement alimentaire.
  • Les dioxines sont très toxiques et peuvent provoquer des problèmes au niveau de la procréation, du développement, léser le système immunitaire, interférer avec le système hormonal et causer des cancers.
  • En raison de l’omniprésence des dioxines, tous les êtres humains sont confrontés à une exposition de fond qui ne devrait pas avoir d’effet sur la santé. Néanmoins, en raison du potentiel toxique élevé de cette classe de produits chimiques, il faut faire des efforts pour réduire les niveaux actuels de l’exposition de fond.

Il est également précisé que

Plus de 90% de l’exposition de l’homme aux dioxines provient de l’alimentation, principalement de la viande, des produits laitiers, des poissons et des crustacés.

En Allemagne donc, 7 poids lourds ont ainsi amené entre 25 et 27 tonnes de produit chacun, avec 123 nanogrammes de dioxines par kilo, et le résultat a été qu’entre 30.000 et 150.000 tonnes de nourriture animale ont été contaminées, les entreprises ne savant même pas le nombre exact ! En fait, elles ne savent pas grand chose et même s’en moquent : du moment que la machine économique tourne, peu importe ce qui est produit.

Pour savoir ce que représente 150.000 tonnes de nourriture, il faut savoir qu’une poule mange jusqu’à 160 grammes de graines par jour ; il y a 26,4 millions de poules « pondeuses » en Allemagne et 150.000 tonnes représentent 47 jours de nourriture pour ces poules « pondeuses. »

Ce qu’on sait, c’est qu’il est déjà certain qu’au moins 240.000 oeufs ont été contaminés par la dioxine. Quant au sort des animaux, les informations ne filtrent pas, à part une seule comme quoi 8.000 poules auraient été tuées. Mais le flou est entretenu ; pour les médias, les animaux restent des « stocks » tout comme le serait n’importe quel objet.

Il n’y a ici que deux possibilités : soit les animaux sont tués pour avoir à éviter de s’en occuper, soit ils sont nourris en attendant la suite, mais vu le risque qu’ils aient mangé de la nourriture avec de la dioxine, il y a peu de chance que cela se passe comme cela.

Il faut également savoir qu’en Allemagne, la production de viande a pratiquement doublé entre 1997 et 2007, passant à quasiment 900.000 tonnes. L’ouverture de fermes-usines a été grandement facilité, les intérêts publics ne rentrant en compte qu’à partir de 40.000 poules au lieu de 20.000.

Il ne faut pas penser non plus que le « bio » est épargné. Le bio est un business, et on y trouve les mêmes magouilles en amont. Un scandale avait ainsi éclaté en Allemagne au début 2010, du maïs d’Ukraine ayant contenu de la dioxine et contaminé des oeufs bios distribués par Lidl et Aldi.

A partir du moment où il y a un rapport d’exploitation, celui-ci ne peut que se généraliser. L’exploitation des animaux déborde nécessairement sur son environnement ; c’est une question de logique économique, de mentalité, de culture. Si l’on exploite les animaux, pourquoi pas les humains (et inversement) ?

Pour finir, citons de nouveau l’Organisation Mondiale de la Santé, qui présente des cas connus de contamination à la dioxine… Une contamination liée à l’industrie alimentaire fondée sur l’exploitation animale!

Fin 2008, l’Irlande a rappelé des tonnes et des tonnes de viande de porc et de produits dérivés, lorsqu’on a détecté des quantités de dioxines jusqu’à 200 fois plus élevées que la limite de sécurité dans des échantillons de porc. Cette découverte a entraîné l’un des plus gros rappel d’aliments en relation avec une contamination chimique. Les évaluations du risque faites en Irlande n’ont pas mis en évidence de problème pour la santé publique. L’origine de cette contamination a été retrouvée dans l’alimentation contaminée des animaux.

En juillet 2007, la Commission européenne a émis une alerte sanitaire pour ses États membres, après avoir découvert de fortes teneurs en dioxines dans un additif, la gomme guar, utilisée en petite quantité comme épaississant pour la viande, les produits laitiers, les desserts ou la charcuterie. Cette dioxine provenait de la gomme guar importée d’Inde et contaminée par du pentachlorophénol (PCP), un pesticide qui n’est plus utilisé et qui était contaminé par des dioxines.

En 1999, on a trouvé des concentrations élevées en dioxines dans des volailles et des œufs en Belgique. Par la suite, des produits alimentaires à base d’animaux et contaminés par des dioxines (volailles, œufs, porcs) ont été détectés dans plusieurs pays. L’origine en était des aliments pour animaux contaminés par de l’huile industrielle usagée contenant des PCB et éliminée illégalement.

En mars 1998, on a attribué de fortes teneurs en dioxines dans du lait vendu en Allemagne à des pellets d’agrumes, utilisés pour nourrir les animaux et importés du Brésil. L’enquête a abouti à une interdiction de toute importation de pulpes d’agrumes dans l’Union européenne en provenance du Brésil.

Un autre cas s’est produit aux États-Unis d’Amérique en 1997. Des volailles, des œufs et des silures ont été contaminés en utilisant une matière première impure (de la bentonite, parfois appelée «argile plastique») pour fabriquer des aliments pour animaux. Cette argile provenait d’une mine de bentonite. Comme rien n’indiquait que des déchets dangereux avaient été enterrés dans la mine, les enquêteurs pensent que l’origine des dioxines pourrait être naturelle, peut-être à cause d’un feu de forêt préhistorique.

De grandes quantités de dioxines ont été libérées lors d’un grave accident dans une usine chimique à Seveso (Italie), en 1976. Un nuage toxique, comportant de la tétrachlorodibenzo-2, 3, 7, 8 p-dioxine, ou TCDD, a été libéré dans l’atmosphère et a fini par contaminer une zone de quinze kilomètres carrés avec une population de 37 000 habitants.

Des études approfondies sur la population touchée se poursuivent pour déterminer les effets à long terme de cet accident sur la santé de l’homme. Elles se heurtent néanmoins à l’absence d’évaluations suffisantes de l’exposition. On a décelé une augmentation mineure de certains types de cancers et des effets sur la procréation, ce qui fait l’objet d’études complémentaires. On étudie actuellement aussi les effets éventuels sur les enfants des personnes exposées.

La prévention ou la diminution de l’exposition de l’être humain marchent le mieux en prenant des mesures à la source, c’est-à-dire en instaurant un contrôle rigoureux des processus industriels pour réduire dans toute la mesure du possible la formation de dioxines.

Apocalypse Vietnam – Agent orange

Aujourd’hui, c’est le premier jour de 2011, et cela fait quarante ans que l’agent orange empoisonne Gaïa au Vietnam. De 1961 à 1971, les USA ont utilisé massivement de la dioxine, sur des millions d’hectares, afin d’assassiner la végétation et en même temps le Front National de Libération du Vietnam.

Il y a deux jours, un accord a été signé entre le Vietnam et les USA, accord qui « confirme la volonté mutuelle des deux gouvernements de coopérer dans l’espoir que la décontamination puisse commencer en juillet 2011 et être terminée en octobre 2013. »

Non seulement c’est dans six mois, mais ce qui est concerné ici c’est une base utilisée par l’armée américaine, à Danang, un de trois grands sites contaminés. Quant à l’expression « dans l’espoir »… On voit bien ici le problème.

Il n’y a jamais eu de volonté réelle d’affronter le problème, les USA ne voulant pas, rappelons que ce sont des entreprises énormes (comme Monsanto) qui produisaient l’agent orange. Et le Vietnam ne pouvant pas: aujourd’hui encore quatre millions de personnes sont contaminées par l’agent orange.

Les effets de l’agent orange sont terrifiants. Sur les humains, cela est largement documenté. En français, un site est consacré à cet empoisonnement (Vietnam-dioxine) et un livre est sorti tout récemment: Apocalypse Vietnam Agent Orange, dont on peut voir une présentation détaillée ici.

Le livre a été écrit par André Bouny, dont voici plus bas la présentation de l’agent orange.

Précisons toutefois que si la dimension humaine est donc relativement connue, la connaissance concernant la Nature est quasi nulle. La dioxine déversée dans la Nature a évidemment eu un effet dévastateur pour Gaïa, il s’agit d’un écocide très clair, et pourtant les informations concernant les animaux et la végétation… sont d’une si faible existence, que l’on reconnaît bien là le sens des valeurs des sociétés rejetant Gaïa.

Parmi les rares chiffres, on a les données fournies par un chercheur de Harvard, qui a comparé, plusieurs années après la diffusion de la dioxine, trois zones: l’une ayant vu la dioxine se répandre, deux autres ayant été épargné.

La première avait 24 espèces d’oiseaux présentes, contre entre 145 et 170 pour les autres; le nombre d’espèces de mammifères pour la première zone était de 5, contre entre 30 et 55 pour les autres.

L’agent orange a été meurtrier… Il faut réparer cela, établir les crimes contre Gaïa, et juger les coupables!

L’Agent Orange en 10 questions

Qu’est-ce que l’Agent Orange ?

C’est l’herbicide le plus utilisé par l’armée américaine durant la guerre du Viêt Nam. Les herbicides servaient à défolier les forêts (afin d’empêcher la guérilla vietnamienne de se cacher), à protéger les installations militaires et à détruire les récoltes ennemies. L’Agent Orange est en fait de couleur rose-brun. Il doit son nom aux bandes de couleur orange peintes sur les barils dans lesquels il était stocké. De même furent baptisés les autres produits chimiques dit « Arc en ciel » que sont les Agents Blanc, Bleu, Rose, Vert et Pourpre.

Pourquoi l’Agent Orange est dangereux pour l’homme ?

Deux tiers des herbicides utilisés pendant la guerre du Viêt Nam, notamment l’Agent Orange, contenaient de l’acide 2,4,5-T connu pour ses capacités défoliantes. Or les procédés de fabrication industrielle de cet acide, élaborés pour maximiser les profits, eurent pour conséquences de le contaminer par des doses plus ou moins importantes d’une substance extrêmement toxique : la 2,3,7,8-tétrachlorodibenzo-para-dioxine (TCDD).

Combien de dioxine a-t-on déversé au Viêt Nam ?

La quantité de dioxine variait selon les herbicides. Selon les dernières estimations,* entre 1961 et 1971, l’armée américaine aurait à elle seule déversé près d’une centaine de millions de litres d’herbicides contenant plus de 300 kilos de dioxine TCDD, sur des centaines de milliers d’hectares, dans le sud et le centre du Viêt Nam principalement, mais aussi au Laos et au Cambodge. Or les normes internationales fixent les seuils limites de dioxine en millionièmes de millionième de gramme par personne.

Quels sont les effets de la dioxine ?

La dioxine est une substance cancérigène et tératogène (produisant des malformations au stade foetal). Elle provoque des maladies de peau, des cancers, et porte atteinte au système immunitaire, reproductif et nerveux.

Combien de personnes ont-elles été touchées par les herbicides au Viêt Nam ?

Selon les dernières estimations,* de 2,1 à 4,8 millions de Vietnamiens ont été directement exposés aux herbicides entre 1961 et 1971, auxquels il faut ajouter un nombre inconnu de Cambodgiens, de Laotiens, de civils et militaires américains, et de leurs divers alliés (australiens, canadiens, néo-zélandais, sud-coréens). Mais le nombre total de victimes va sans doute au-delà car la dioxine se transmet par la chaîne alimentaire : lait maternel, lait de vache, consommation de viandes ou de poissons contaminés.

Qu’est-ce que l’opération Hadès ?

C’est le nom originel de l’opération américaine de défoliation par voie aérienne au sud du Viêt Nam, qui fut ordonnée sous la présidence Kennedy en 1961, et se termina en 1971. Comme le nom Hadès fut jugé trop « explicite » (Hadès est le dieu des morts), il fut changé peu après en opération « Ranch Hand » (Ouvrier agricole).

Les États-Unis ont-il admis leur responsabilité pour les dommages causés par les herbicides au Viêt Nam ?

Non, ils réfutent toujours toute responsabilité, et n’ont jamais versé le moindre centime aux victimes vietnamiennes, cambodgiennes et laotiennes de l’Agent Orange.

Les victimes de l’Agent Orange ont-elles porté plainte ?

Les vétérans américains victimes de l’Agent Orange ont porté plainte contre les fabricants de cet herbicide chimique, car ils n’avaient pas le droit de poursuivre le gouvernement américain. En 1984, ces industriels ont signé un accord à l’amiable avec les associations de vétérans : en échange de l’arrêt de toute poursuite, les fabricants ont versé 180 millions de dollars à un fonds de compensation aux vétérans américains victimes de l’Agent Orange. Début 2004, l’association vietnamienne des victimes de l’Agent Orange a porté plainte contre les fabricants de ce qu’elle considère être un poison. Les deux principaux producteurs étaient Dow Chemical et Monsanto. Fin février 2009, la Cour suprême des États-Unis a rejeté la requête des victimes vietnamiennes et américaines.

La dioxine, problème passé ou actuel ?

Trente cinq ans après la fin de la guerre, les maladies et symptômes liés à la dioxine sont toujours présents au Viêt Nam, et dans certaines zones, il reste une quantité considérable de dioxine. On compte aujourd’hui trois générations de Vietnamiens touchées par les herbicides.

La dioxine, problème local ou mondial ?

La dioxine n’est pas un problème qu’au Viêt Nam. En effet, plusieurs activités industrielles courantes occasionnent la production de dioxine, notamment la combustion d’ordures ménagères et le blanchiment de pâte à papier. L’accident industriel de Seveso en Italie (1976) témoigna des dangers de la dioxine dans le monde entier.

* J.M. Stellman, S.D. Stellman, R. Christian, T. Weber et C. Tomasallo, « The extent and patterns of usage of Agent Orange and other herbicides in Vietnam », Revue Nature, Volume 422, Avril 2003.

L’Agent Orange en 10 chiffres

2,3,7,8 -tetrachlorodibenzo-p-dioxin (ou TCDD) est le nom du poison.

1,68 million d’hectares contaminés par la dioxine (16 797 km2), soit 10 % du territoire du Sud-Viêt Nam.

3 formes de contamination possibles : par ingestion, contact cutané ou inhalation.

83 millions de litres de défoliants déversés (au strict minimum), dont 65 % contiennent de la dioxine.

366 kg de dioxine pure déversés ; quelques nanogrammes (milliardièmes de gramme) suffisent pour provoquer des anomalies à la naissance (fausses couches, naissances prématurées et malformations graves)

3 735 jours d’épandage, selon les sources officielles (1961-1971)

3 181 villages touchés directement à des degrés divers.

Durée de la demi-vie : 10 à 20 ans, voire plus suivant les sols, 5 à 8 ans dans le corps humain.

33 (*) maladies provoquées par l’Agent Orange

2,1 à 4,8 millions de personnes concernées. Chaque jour de nouvelles personnes sont contaminées.

(*) Liste des 33 maladies provoquées par l’Agent Orange (Source : Anciens combattants et Agent Orange – mise à jour en 1996, Institut de Médecine, presse de l’Académie nationale, Washington, 1997)

A/ Maladies offrant une preuve suffisante d’un rapport avec l’exposition aux herbicides : Sarcome des tissus mous – Lymphome non-Hodgkinien – Maladie d’Hodgkin – Chloracnée

B/ Maladies offrant une preuve limitée de rapport avec l’exposition aux herbicides : Cancers respiratoires (poumons, larynx, trachée, bronches) – Cancer de la prostate – Myélome multiple – Neuropathie périphérique – Spina bifida – Porphyrie cutanée tardive

C/ Maladies offrant une preuve insuffisante de rapport avec l’exposition aux herbicides : Cancers hépatobiliaires (foie, voies biliaires) – Cancers nasal/naso-pharyngé – Cancer osseux – Cancer du sein – Cancers de l’appareil reproductif féminin (cervical, utérin, ovarien) – Cancer du rein – Cancer du testicule – Leucémie – Avortement spontané – Anomalie (défaut, imperfection) à la naissance (autre que la spina bifida) – Mort néonatale /du nourrisson et mort-né – Petit poids de naissance – Cancer de l’enfance dans la progéniture – Paramètres spermatiques anormaux et infertilité – dysfonctionnement moteur/de coordination – Désordres métaboliques et digestifs (diabète, modifications des enzymes hépatiques, anomalies lipidiques, ulcères) – Désordres du système immunitaire (baisse immunitaire et auto-immunité) – Désordres circulatoires – Désordres respiratoires – Cancers de la peau – Cancer de la vessie

D/ Maladies n’offrant pas de preuves suffisantes d’un rapport avec l’exposition aux herbicides : Tumeurs gastro-intestinales (cancers de l’estomac, du pancréas, du colon, du rectum) – Tumeurs du cerveau…