Le combat au sein des institutions est perdu d’avance, il faut bien comprendre cela, et bien saisir l’énorme campagne qui est en train d’être menée avec la vaccination « volontaire ». Celle-ci s’accompagne en effet d’un battage médiatique énorme, de pressions diverses et variées (notamment au sein des institutions médicales).
Et le mot d’ordre est clair: l’utilisation des animaux est mis en avant par les institutions comme une chose « utile » tout comme les tests sur les animaux.
Prenons par exemple le questionnaire médical (ici au format PDF), que toute personne voulant se vacciner doit remplir. On peut y lire:
Avez-vous une allergie aux protéines de l’œuf ou de poulet, à l’ovalbumlne ou à certains médicaments ?
C’est on ne peut plus clair. Cela veut dire que chaque personne qui se fait vacciner intègre, plus ou moins directement, le fait que des animaux sont utilisés. Bien sûr tout le monde ne va pas y penser en lisant. Mais justement c’est là que tout se joue: il n’y a pas besoin de convaincre de ce qui est déjà une norme!
Il s’agit juste de maintenir l’hégémonie. Pour s’en convaincre d’ailleurs, il suffit de lire le document d’information sur les vaccins, dont voici le principal extrait.
Toutefois, rappelez-vous bien d’une chose en le lisant: ce document est fourni à toutes les personnes dans les lycées, et dans notre raisonnement ce sont principalement les jeunes qui vont assumer la libération animale et la libération de la Terre, les personnes plus âgées étant souvent coincées dans leurs habitudes et ayant du problème à acquérir une conscience correcte de la dimension révolutionnaire qui existe.
Les institutions savent très bien ce qu’elles font!
Voici donc l’extrait:
Les adjuvants utilisés dans les vaccins de GSK, de Novartis et dans un vaccin de Sanofi sont à base de squalène (huile de foie de requin). Le squalène est une substance que l’on trouve à l’état naturel dans les plantes, chez l’animal et chez l’homme. Dans l’organisme humain, il est synthétisé dans le foie et véhiculé par la circulation sanguine.
On le trouve également dans différents aliments, médicaments en vente libre et compléments alimentaires. Il est commercialement extrait de l’huile de poisson, en particulier de l’huile de foie de requin. Il est ensuite purifié et utilisé dans certains produits pharmaceutiques et vaccins.
Le risque associé à la présence d’adjuvants à base de squalène dans les vaccins grippaux A(H1N1) est actuellement théorique. En effet, les données chez l’animal n’ont permis de retrouver aucun effet toxique.
Dans le dernier passage, c’est de vivisection dont on parle, mais bien entendu cela est dit à mots couverts. Les institutions ont des experts sachant manier les mots et bien manipuler!
Et comme on le voit donc, à tous les niveaux il y a un discours à prétention scientifique, se voulant incontournable, où les animaux sont des esclaves. C’est une démonstration très claire du caractère illusoire des réformistes s’imaginant qu’au sein de cette société, il serait possible que les animaux aient des « droits. »
Par définition, dans notre société, le droit est fondé sur l’exploitation, la loi du profit. Pourquoi? Parce que la loi est le reflet des rapports de force qui existent dans cette société, dans notre société façonnée par le capitalisme. Conséquence logique: tant que l’exploitation existera en tant que réalité, les animaux subiront la tyrannie!
C’est dans cette perspective que doit s’engager notre activisme pour la libération animale et la libération de la Terre!