Yvonne a été retrouvée

Fin août, les recherches pour trouver Yvonne, la vache qui a fui l’abattoir, avaient été arrêtées : malgré les intenses recherches, elle était introuvable, et qui plus est c’est toute la forêt qui était perturbée par tous les gens la traversant.

Yvonne devrait revenir d’elle-même, ce serait le plus simple, et justement, le 1er septembre on l’a retrouvé en train de brouter avec d’autres vaches. Et hier, les membres du sanctuaire « Gut Aiderbichl » ont réussi à la « capturer. »

La « capture » a été difficile, malgré les produits pour l’endormir, elle était seulement groggy, et la mettre dans le camion de transport a été difficile.

C’est donc la fin de l’histoire, ou plutôt le début puisque désormais Yvonne sera dans un sanctuaire (dont nous reparlerons), sa vie étant sauvée.

Et il reste une véritable mobilisation en sa faveur : l’Etat a dû annuler l’ordre de la tuer, et le journal ultra-populiste « Bild Zeitung » a même promis 10 000 euros de récompense à qui permettrait de la retrouver saine et sauve.

Il y a également de multiples chansons qui témoignent de cet engouement populaire, comme celle-là (« Hey Yvonne, toi la vache sauvage, tu vis dans la forêt et tu veux ta paix »), ou bien encore celle-là  (« Hou hou je suis une vache et j’ai un coeur comme toi, Je m’appelle Yvonne et si je veux je m’enfuis, je ne suis pas une vache à massacrer et ne me laisserai pas transformer en saucisson, plutôt être libre dans la forêt quitte à avoir faim »).

Ou encore celle-ci, cette dernière chanson est d’ailleurs directement engagée en faveur des animaux, voici par exemple des images qu’on trouve dans la vidéo.

Sur la seconde image, le fond est le drapeau de la Bavière, car la vache autrichienne indique le chemin de la libération aux animaux opprimés de Bavière!

Le chanteur de cette chanson a d’ailleurs réalisé une « interview » d’Yvonne, humoristique mais également en faveur des animaux.

Nous reparlerons bien entendu d’Yvonne lorsqu’elle sera installée dans le sanctuaire!

Yvonne, symbole de la libération animale

En Allemagne en ce moment, c’est Yvonne qui est au centre de l’attention de beaucoup de gens. Yvonne est une vache âgée de six ans, qui plutôt que de prendre le chemin de l’abattoir, s’est enfuit dans l’autre direction, et hop! a taillé dans les bois à 16 kilomètres de là, au nord de la Bavière.

Elle n’a alors pas été retrouvée, et ce depuis deux mois. Elle est devenue un véritable symbole, et une mobilisation a lieu pour sauver Yvonne!

 

Mais la situation est très dangereuse pour Yvonne. Car le propriétaire du terrain de 25 hectares n’a rien contre Yvonne, ni même l’agriculteur du coin, dont Yvonne a mangé la pâturage. Mais il y a la police… Elle a rencontré une voiture de police, et la police l’a alors déclaré… dangereuse!

Résultat: deux assassins parcourent la forêt, afin de la trouver et de l’abattre. Toutefois, la vitesse pour les voitures a été limitée à 30 km/h et les chasseurs en question n’ont le droit de tirer qu’en cas de danger de collision.

Ils sont également munis d’un fusil avec un anesthésiant: la pression populaire est telle en Allemagne que même les responsables de l’État au niveau local ont dû affirmer que le but était de la capturer vivante. Ce qui n’est pas une garantie qu’ils tiendront parole.

La situation est dangereuse pour Yvonne, il s’agit donc de la sauver, sauf que ce n’est pas facile.

Une autre vache, dénommée Waltraud, ainsi que le veau Waldi, venant tous deux d’une ferme-refuge pour animaux sauvés, a été placé dans un pré pour l’attirer, en jouant notamment sur son aspect maternel ainsi que son amitié: Waltraud a vécu avec Yvonne.

Si Yvonne est trouvée, elle ira d’ailleurs dans le même refuge.

Mais Yvonne leur a rendu visite, la nuit, en plein brouillard!

Jusqu’à présent, elle a réussi à toujours éviter les gens partis à sa recherche, qui sont une centaine! Mais Yvonne a résisté à la piqûre pour l’endormir, et est repartie.

En tout cas, Waltraud et Waldi sont observéEs 24 heures sur 24 par un groupe de 2-3 personnes, et un filet a été installé pour empêcher Yvonne de se retrouver sur une importante route.

Une tente avec du foin et de l’eau a également été mise en place, en plus d’un « piège » avec de la nourriture pour la capturer.

Avec l’espoir de pouvoir récupérer Yvonne sans que sa santé soit mise en danger. Elle est en tout cas un très beau symbole de révolte naturelle et de la valeur de libération animale!

Minecraft: un jeu qui est tout un symbole

Minecraft est un jeu vidéo qui a un succès formidable, alors qu’il n’est même pas réellement sorti, la version finale étant pour la fin de l’année 2011. 2 millions d’exemplaires de la version test ont déjà été vendus et l’engouement est très grand dans la « communauté » des gens qui jouent sur leur ordinateur.

Paradoxalement, le jeu utilise le langage informatique « java » et est donc… très moche. Mais il nous intéresse au plus haut point : ce jeu est exemplaire de par son identité opposée à la libération animale et la libération de la Terre !

En quoi consiste le jeu ? Il s’agit d’un monde rempli de cubes. Ces cubes représentent la nature, ou tout au moins des éléments de celle-ci, et même pas n’importe lesquels (nous allons voir pourquoi).

On a donc des des cubes qui forment des arbres, des cours d’eau, du sable, des montagnes, etc. On représente un personnage qui, en cliquant, détruit ces cubes pour avoir des matières premières.

En sélectionnant ces matières premières obtenues, en les combinant, on forme alors des outils et des matériaux, comme des planches, des pioches, etc.

Dans l’image ci-dessous, on a le modèle pour faire une selle, avec du cuir.

On l’aura compris : le jeu consiste en une apologie de la destruction de la planète et de ses habitants.

La situation des animaux dans le jeu est vraiment exemplaire de l’oppression. Leur fonction est évidemment ici de servir de nourriture. Ou alors au mieux d’agréments du jeu, de nouveaux « décors » à ajouter : on peut voir ici une vidéo édifiante d’oppression où on a une présentation de « l’amusement » à voir des oiseaux manger des graines qu’on leur lance, à avoir des ours et des sangliers évidemment méchants, des chevaux qu’il faut « éduquer » au moyen de nourriture, la création d’élevage etc.

On remarquera d’ailleurs que les animaux tuent toujours les animaux plus petits qu’eux… Une vision du monde qui reflète bien l’esprit de domination!

Mais voici une présentation des animaux qui sont dans le jeu et qui « doivent » être utilisés par les humains, dans une démarche d’exploitation animale.

Cochon

Le cochon apparait sur l’herbe, à la surface. À sa mort, il donne des côtelettes qui restaurent de la vie et qui peuvent être cuites afin d’en restaurer plus. Le cochon peut être monté à l’aide d’une selle mais il est impossible à contrôler. Si le cochon meurt carbonisé (avec de la lave ou un briquet) , il libèrera des côtelettes déjà cuites. Un cochon touché par un éclair sera transformé en homme cochon.

Vache

La vache apparait sur l’herbe, à la surface. À sa mort (qui peut survenir d’une chute sans l’intervention quelconque du joueur), elle donne du cuir, utile à la fabrication d’armures en cuir et certains meubles. On peut récupérer du lait en faisant un clic droit sur ses mammelles à l’aide d’un seau, le lait servant à la préparation des gâteaux.

Poule

La poule apparaît sur l’herbe, à la surface ou naît d’un œuf jeté par un joueur. À sa mort, il donne des plumes utiles à la fabrication de flèches, de son vivant il peut pondre des œufs, utiles à la préparation des gâteaux ou comme armes de fortune non-mortelle (excepté sur les slims).

Mouton

Le mouton apparait sur l’herbe, à la surface. On peut lui retirer sa laine sans le tuer, le mouton sera alors nu et se comportera normalement. Sa laine est utile à la confection de tableaux, de lits, elle peut aussi être teinte pour donner des blocs de laine colorés à usage décoratif. On peut trouver des moutons blancs mais aussi gris et noirs qui donneront des blocs de laine déjà colorés, il existe aussi des moutons marrons, rose et vert qui sont plus rares encore. En utilisant du colorant, on peut créer ces moutons avec un clic droit sur un moutons normal.

Pieuvre

La pieuvre apparait dans l’eau à n’importe quelle profondeur. À sa mort elle donne des poches d’encres qui servent à teinter la laine. De la même façon que l’on trait une vache, on peut lui retirer du lait sans la tuer en visant sa bouche avec un seau.

Araignée

Ennemi attaquant au corps à corps, assez rapide. Elle est inoffensive de jour, à moins qu’on ne l’attaque. Suite à l’avancement du développement du jeu, elle est également capable de grimper aux murs verticalement, mais elle n’attaque pas pendant cette action. La tuer permet d’obtenir de la ficelle. Quand le jour se lève, les araignées agressives continuent d’attaquer, sauf si elles subissent des dégâts à cause d’une chute ou d’un cactus, auxquels cas elles redeviennent neutres.

On l’aura compris : Minecraft est une sorte de petit résumé des valeurs dominantes. Les joueurs rivalisent d’ailleurs dans la construction de villes ou de bâtiments fantasmagoriques, toujours plus grands et plus délirants. C’est le culte de la destruction de Gaïa, le culte fantasmatique de la « toute puissance » de l’humanité.

Voici quelques exemples.

Le succès de Minecraft, comme des jeux comme civilization, Zootycoon, etc. (et dont nous reparlerons), montre bien comment la culture dominante arrive à mobiliser les gens dans le sens voulu par ceux qui profitent de l’exploitation animale et de la destruction de la planète. Face à cela, seule une contre-culture sans compromis peut arriver à renverser la tendance!

La manipulation émotionnelle de la pub « Actimel »

Si vous avez la télé, vous avez pu voir depuis quelques jours, la nouvelle pub pour « Actimel » de Danone. Sinon, cette publicité, ô combien scandaleuse, est visible ici.

Le terme de scandaleux n’est certainement pas trop fort car cette pub ne se prive pas d’afficher des animaux avec leurs enfants, afin de montrer la force de l’amour maternel. D’où leur slogan à la fin de ce spot:

« protéger est le plus naturel des gestes »

Quel crime que de mettre en avant la figure de la mère… pour vanter le lait de vache, alors que justement cela signifie qu’on a enlevé le veau pour l’assassiner!

Donner du lait d’une vache exploitée et qui a souffert n’a strictement rien d’un « geste naturel » ! Car nous ne sommes pas des veaux, et nous sommes sevrés depuis bien longtemps. Nous n’avons donc pas besoin de lait maternel et encore moins du lait d’une femelle d’une autre espèce que la nôtre.

Rappelons que Danone (qui produit Actimel) lance une campagne « ciblée » de promotion des boîtes de lait infantile, notamment dans le 13ème arrondissement (voir notre article Blédina et Danone à l’assaut des populations pauvres – et d’origine asiatique). Rappelons également que nous avions mis en ligne un tract au sujet du lait et de ce que cela signifie pour les vaches et les veaux.

Par ailleurs, ce spot publicitaire (comme les anciennes publicités de la marque qui touchaient systématiquement les enfants) ne se prive pas de manipuler les mères humaines pour qu’elles s’occupent correctement de leurs enfants…. Et comment ? En leur donnant de l’Actimel, bien évidemment.

Il faut savoir ici que Danone a dû retirer son slogan:

« contribue à améliorer vos défenses naturelles »

pour cause de publicité mensongère. Danone n’a en effet pas pu obtenir l’aval des autorités sanitaires sur ses slogans publicitaires.

En effet les « Actimel » contiennent… 2 morceaux de sucre par mini bouteilles de 100 ml (en raison de l’amertume du L. casei) et rien ne prouve scientifiquement les prétendues vertus de cette boisson, qui n’est qu’un yaourt liquide excessivement cher.

Pour tenter de convaincre malgré tout que leurs produits sont bénéfiques à la santé, Danone avait engagé de très onéreuses recherches avec sept « études cliniques » menées sur plusieurs années pour un total de 12 millions d’euros. Précisons à cette occasion, que ces « études » ont été menées sur des rats et des cochons d’inde.

Ces produits se voulant bénéfiques pour la santé ne sont que des produits marketing, au service de l’industrie alimentaire. Ce ne sont pas moins de 6,3 millions de bouteilles vendues chaque jour dans le monde, le tout aidé avec des heures de lobotomie publicitaires, comme indiqué dans cet article très intéressant sur la logique commerciale du groupe Danone.

C’est un spot vantant la petite fiole qui a été le plus diffusé à la télé anglaise pendant la semaine du 16 au 22 septembre. Diffusé 162 fois, il a occupé 2 h 32 de temps d’antenne, contre moins de la moitié pour le numéro 2.

Se cantonnant principalement aux personnes « fragiles » comme les enfants ou les personnes âgées, Danone était sûr de voir un impact positif sur les ventes de ce produit « miracle ». Mais ces produits n’ont vraiment rien de merveilleux, bien au contraire, ils ne sont que des produits issus de l’exploitation des vaches et des veaux, issu de la manipulation marketing, du mensonge et de la soif de profit. Voici d’ailleurs une publicité russe pour Actimel, on y voit bien le côté racoleur et délirant du produit et l’effet « bénéfique » qu’il produit. Se déchaîner sur un téléphone puis tapper une femme serait donc positif selon Danone !

Ce n’est pas pour rien si en Angleterre l’ASA (Advertising Standards Authority), l’organisme régissant la publicité,

a indiqué mercredi qu’elle interdisait la diffusion en l’état des spots publicitaires télévisés de Danone pour son yaourt Actimel, jugeant pas étayées ses affirmations selon lesquelles le produit contribue à la santé des enfants. L’Advertising Standards Authority a estimé que Danone ne soutenait pas ses allégations selon lesquelles le produit pouvait aider des jeunes, normaux et en bonne santé à en juger par les personnes figurant dans la publicité, à se protéger contre les maladies infantiles classiques.

Par ailleurs, les allégations santé de ce produit ont fait l’objet d’un recours collectif en janvier 2008 aux États-Unis (voir ici et ).

Cette publicité est un véritable cas d’école. Danone joue sur les sentiments et les émotions: son produit est censé être naturel, protecteur. Et qui ne veut pas protéger la vie? C’est une véritable manipulation, et c’est cette idéologie là qu’il faut faire tomber, pour ne plus être dénaturé, pour respecter les animaux, pour que la planète redevienne bleue et verte!

Un âne en parachute ascensionnel pour la publicité?!

La mer d’Azov est une petite mer reliée à la mer noire, entre l’Ukraine et la Russie. Il y a donc des plages et on connaît l’inventivité des publicitaires pour faire parler d’eux. Cette fois, pas d’avion avec une bannière, mais… un âne.

Ainsi sur la plage de Goloubitskaïa, l’âne a été accroché à un parachute ascensionnel, et simplement tiré par un bateau, afin d’être une demi-heure dans les airs.

« L’âne a crié et les enfants ont pleuré » raconte la responsable de police ukrainienne à l’AFP. Sauf que personne n’avait appelé la police sur le coup… il y a de l’émotion, du scandale, mais la passivité a dominé. L’évènement a ainsi eu lieu la semaine dernière déjà…

Ce qui n’est pas étonnant quand on connaît le degré d’implosion sociale dans les pays de l’Est. C’est bien la preuve du caractère social des brutalités contre les animaux.

Et inversement le scandale est désormais très grand, devant les réactions populaires, forçant l’Etat à réagir et à rechercher ceux qui ont organisé cette « publicité. »

On peut voir une courte vidéo ici et une interview là au sujet de cet évènement. Les gens pensaient même qu’il s’agissait d’un chien, tellement le parachute était haut.

L’âne était évidemment terrorisé, et il a été trainé à moitié mort sur plusieurs mètres dans l’eau lorsqu’il a atterri.

Les médias expliquent qu’il s’agissait de faire la promotion du parachutisme ascensionnel, en réalité il s’agissait de faire de la publicité pour une plage privée, en attirant l’attention.

Aussi fou que cela puisse paraître, il y a eu déjà une sorte d’équivalent. Nous avons maintes fois critiqué les délires de l’art contemporain, voici encore un terrible exemple, avec Wolfgang Flatz.

Wolfgang Flatz a voulu montrer le rapport de l’être humain à la chaîne alimentaire. Il a donc organisé une performance intitulée « viande » à Berlin : une vache morte était jetée depuis 40 mètres de haut ; son cadavre était rempli de feux d’artifices afin de faire une sorte de « spectacle. »

Wolfgang Flatz, qui a son propre musée, et son propre nom tatoué en grand, cela ne s’invente pas, est connu pour des performances provocatrices mettant en jeu son propre corps (rentrer dans une cloche pour sonner soi-même jusqu’à être assommé, alors qu’un couple danse une valse devant, etc.).

Il explique ainsi sa démarche :

« Un peintre travaille avec son pinceau, sa toile et ses couleurs, et moi, je travaille avec mon corps, avec l’espace et le temps. Je mets ça sur le même plan. Pour moi, la douleur est un moyen stylistique, un moyen d’expression que j’ai découvert et que j’utilise, un peu comme Van Gogh utilisait ce jaune très vif. Le jaune de Van Gogh est une couleur qui ne s’oublie pas, parce qu’émotionnellement, il vous touche. Pour moi, le corps est un moyen d’expression très fort, et la douleur est une variation de ce moyen d’expression. Tout le monde a peur de la douleur, moi y compris. Mais s’infliger de la douleur ou s’en libérer, ça signifie accepter son existence et se confronter à elle. »

Non seulement cela n’a aucun sens à part l’auto-agression et le culte du rapport de force (avec soi-même en l’occurence), mais on voit où mène ces tendances agresives et destructices : à la négation de la dignité de l’animal, encore une fois sous des prétextes intellectuels de « réflexion » sur le rapport aux animaux.

On a la même chose chez des « artistes » comme Tinkebell, Angus, Delvoye, Evaristti etc.

La seule réflexion correcte, c’est l’éthique végane… et l’action qui va avec!

« C’est un fait insolite qui s’est produit »

Parfois, il y en a qui disent que la « libération animale » est un principe absurde, parce que les animaux ne « rebellent » pas. Une vision bien absurde de la réalité que celle-là, car bien entendu que les animaux se rebellent!

Voici une sombre informations, qui donne à réfléchir à cette question (on notera le caractère profondément lamentable de l’article):

C’est un fait insolite qui s’est produit mardi vers 17 heures à Alès.

En effet, une vache s’est échappée alors qu’elle était en train d’être sortie du camion qui l’avait emmenée à l’abattoir selon le Midi Libre.

Pas folle, la vache n’est pas restée dans l’abattoir mais elle a pris ses pattes à son coup.

Elle est partie dans une zone industrielle puis elle est entrée dans l’enceinte de l’Ecole des mines, provoquant une certaine panique.

Elle a ensuite emprunté un chemin avant d’être stoppée par … une voiture de la police nationale.

L’animal s’est alors réfugié dans un jardin raconte Le Midi Libre.

Sur place, la police municipale a tiré sur la vache avec un fusil hypodermique.

Le propriétaire a alors pu récupérer son animal.

Malheureusement, l’histoire s’est mal terminée. La vache n’a pas été graciée.