Arne Naess: qu’est-ce que l’écologie profonde?

A la fin de l’année dernière a été publié en français Écologie, communauté et style de vie d’Arne Naess, lui-même mort au début de l’année. Sa pensée est quasiment inconnue en France, et sa pensée n’a été mise en valeur à sa mort que de manière underground (un conseiller municipal Vert à Limoges, les maos, un blog par-ci par-là, la revue Mouvements…).

La Terre d’abord va donc davantage se consacrer à la mise en valeur des principes, des notions, afin d’avoir une vision globale et d’être à la hauteur pour libérer la planète.

Commentaires d’Arne Naess des huit points clés de l’écologie profonde (élaborés par Arne Naess et George Sessions en 1984 lors d’une randonnée dans la Vallée de la Mort en Californie)

1) Le bien-être et l’épanouissement de la vie humaine et non-humaine sur Terre ont une valeur intrinsèque (inhérente, en eux-mêmes). Ces valeurs sont indépendantes de l’utilité que peut représenter le monde non-humain pour nos intérêts humains.
« Cet énoncé considère la biosphère ou plus exactement l’écosphère comme un tout (auquel renvoie le terme d’écocentrisme). Notre connaissance actuelle du caractère étroitement imbriqué de leurs relations entraîne à leur égard un respect et un souci fondamentaux. Le terme « vie » est utilisé ici en un sens non technique pour inclure ce que les biologistes classent comme « non-vivant ». Pour les promoteurs de l’écologie profonde, des expressions telles que « Laissez la rivière vivre » illustrent ce sens plus étendu que l’on retrouve dans de nombreuses cultures. La valeur intrinsèque d’un objet naturel est indépendante de toute conscience, intérêt ou jugement d’un être conscient. »

2) La richesse et la diversité des formes de vie contribuent à l’accomplissement de ces valeurs et sont également des valeurs en elles-mêmes.
« Ce deuxième principe présuppose que la vie en elle-même, en tant que processus évolutif, implique un accroissement de la biodiversité et de la richesse naturelle. Les animaux ou les plantes prétendument « moins évolués » ne sont pas de simples étapes vers des formes de vie plus évoluées et plus rationnelles. »

3) Sauf pour la satisfaction de leurs besoins vitaux, les hommes n’ont pas le droit de réduire cette richesse et cette diversité.
« Le terme de « besoin vital » revêt un sens délibérément imprécis pour autoriser une certaine latitude interprétative. En effet les variations dans le climat et dans les facteurs qui en dépendent et les différences dans les structures des sociétés doivent être prises en considération. »

4) L’épanouissement de la vie et des cultures humaines est compatible avec une diminution substantielle de la population humaine. L’épanouissement de la vie non-humaine requiert une telle diminution.
« Les hommes dans les pays les plus riches matériellement ne peuvent réduire leur influence excessive avec le monde non humain du jour au lendemain. La stabilisation et la réduction de la population humaine prendront du temps, des siècles ! Mais cela n’excuse pas le laisser-aller actuel. Plus nous attendrons longtemps pour entreprendre des changements, plus ceux-ci seront drastiques. Jusqu’à ce qu’ils aient lieu, un effondrement de la biodiversité est toujours possible.

5) L’interférence actuelle des hommes avec le monde non-humain est excessive et la situation s’aggrave rapidement.
« Cet énoncé reste modéré. La non-interférence n’implique pas que les hommes ne doivent pas modifier leur écosystème, ils ont modifié la Terre tout au long de leur histoire et continueront de le faire. La véritable question est la nature et l’ampleur d’une telle influence. La destruction des forêts primaires et autres écosystèmes sauvages a été excessive dans les pays riches. Il est donc essentiel que les pays pauvres ne nous imitent pas à cet égard. La lutte pour la préservation d’espaces sauvages et semi-sauvages devra se poursuivre. Les étendues sauvages sont nécessaires dans la biosphère pour l’évolution continue des plantes et des animaux. La plupart des espaces sauvages et des réserves de chasse n’autorisent pas une telle spéciation!»

6) Les politiques doivent changer, elles doivent affecter les structures économiques, techniques et idéologiques. La situation qui résultera du changement sera profondément différente de la situation actuelle.
« La croissance économique telle qu’elle est conçue et mise en œuvre dans les pays industrialisés est incompatible avec les points précédents. Il y a un prestige dans la consommation effrénée et le gaspillage. Alors que l’autodétermination, la communauté locale et le « Pensez globalement, agissez localement » demeureront les termes clefs dans l’écologie des sociétés humaines, la mise ne place de changements radicaux exige une action à une échelle de plus en plus globale : l’action transfrontalière. Une action par le biais des ONG internationales devient ainsi nécessaire. »

7 ) Le principal changement idéologique consistera en la valorisation de la qualité de la vie plutôt que de toujours promouvoir un niveau de vie supérieur. Il y aura une profonde conscience de la différence entre «gros» et « grand ».
« Certains économistes critiquent le terme de « qualité de vie » parce qu’il est vague, on le considère comme tel parce que la qualité de vie n’est pas quantifiable. Or, il n’est ni possible ni souhaitable de la quantifier. »

8 ) Ceux qui adhèrent aux points précités ont obligation de tenter de mettre en place directement ou indirectement ces changements nécessaires.
« Il y a de la marge pour la discussion des priorités. La ligne de front de la crise environnementale, longue et variée, offre de la place pour tout le monde ! »

Tabagisme passif

Etre vegan signifie briser son égoïsme. Non seulement le tabac est mauvais pour sa propre santé (et c’est une bonne raison d’être xstraight edgex), mais il est évident qu’il est également extrêmement néfaste pour la santé des compagnons poilus nous entourant…

Sans compter que les cigarettes sont testées sur les animaux.

Le tabagisme passif, au sujet duquel on peut trouver ici un article concernant les chiens et les chats, est un thème très important: il faut bien comprendre qu’il s’agit d’avoir un aperçu complet de notre environnement, et d’agir en conséquence!

L’esclavage des primates

L’association One Voice organise une manifestation le 25 avril devant le centre de primatologie qui reçoit et élève des singes à Niederhausbergen en Alsace, suite à  une infiltration par certains de ses membres d’un élevage de primates au Cambodge.

Environ 10.000 singes sont exportés du Cambodge, pour atterir dans les laboratoires de recherche et même à un grand centre de primatologie français!

L’association présente la situation de cet élevage, la nature de leur emprisonnement (voir également ici), dans cet enfer où les bébés sont arrachés à leur mère

Le ministre dit de l’ Écologie débourse 190 000 euros pour treize huttes de chasse !

L’association pour la protection des animaux sauvages diffuse l’information comme quoi le ministre de l’écologiva dépenser 190 000 euros pour des huttes de chasse.

Les chasseurs de « gibier d’eau » en espèrent encore 200 000 du Conseil général du Pas-de-Calais et autant du Conseil régional Nord – Pas-de-Calais… soit la modique somme de 600 000 euros pour treize huttes.

Ces treize huttes sont censées remplacer les installations hors-la-loi situées à l’intérieur même de la Réserve naturelle du Platier d’Oye (sur la commune d’Oye Plage, Pas-de-Calais) créée en 1987.

Cette zone de protection était devenue un lieu d’affrontement jusqu’à ces dernières années entre les chasseurs, qui continuaient à y tirer illégalement les oiseaux d’eau, et les défenseurs de la nature qui entendaient que cette Réserve naturelle soit un havre de tranquillité pour la faune sauvage.

Après deux décennies d’illégalité, les chasseurs viennent de décrocher le jackpot !

Un babouin sauvé d’un cirque

Vidéo, photo et compte-rendu (en espagnol) de la libération d’un babouin emprisonné dans un cirque de l’Etat espagnol.

L’action s’est déroulée lors du nouvel an, alors que les membres du Circo Roma Dola fêtaient le passage à la nouvelle année, trois activistes du refus de l’égoïsme et de l’exploitation animale ont organisé la libération du babouin, dont voici ici une photo.

Echec à l’intoxication tauromachique à l’école

Vendredi 27 mars, une conférence sur la tauromachie devait se tenir au lycée Jean-d’Arcet d’Aire-sur-l’Adour (Landes), de 14 heures à 16 heures, en présence de jeunes toreros.

Estimant qu’il n’est pas « dans le rôle de l’Éducation nationale d’assurer la promotion de la corrida dans les établissements scolaires, a fortiori quand cela se déroule dans l’enceinte même d’un établissement et pendant le temps scolaire » Claire Starozinski, fondatrice de l’Alliance Anticorrida, avait saisi le ministre, le recteur de l’Académie de Bordeaux et l’inspectrice d’Académie..

Cette dernière a imposé à Dominique Boissard, proviseur du lycée, de renoncer à cette conférence pendant le temps scolaire et de fournir impérativement l’accord des parents pour les élèves qui désireraient y participer, plus tard dans l’après-midi.

Résultat : sur 185 élèves 9 seulement se sont montrés intéressés.

C’est le moment de compter les papillons

Avec le printemps démarre la saison de l’Observatoire des papillons. Une initiative qui permet au grand public de s’intéresser à la biodiversité en participant à cette opération nationale de comptage des lépidoptères.

Inutile d’être un grand spécialiste des papillons pour rejoindre l’équipe qui les comptabilise pour l’Observatoire des papillons des jardins qui a lancé cette initiative en 2006 avec le Muséum national d’histoire naturelle.

De par leur diversité et leurs exigences écologiques, les papillons sont de précieux indicateurs de l’état de santé du milieu naturel dans lequel ils évoluent. Or, les données disponibles sur ces insectes sont très insuffisantes, d’où l’idée d’associer le public aux opérations scientifiques de comptage. Concrètement, chacun peut choisir un jardin, un parc, voire un balcon, et y compter les papillons qu’il identifie. Pour ce faire et après s’être inscrit sur le site de l’Observatoire des papillons qui propose 28 fiches des espèces les plus courantes. Chaque « agent recenseur » est entièrement libre d’être plus ou moins assidu dans ses relevés statistiques, toutes les données et toutes les bonnes volontés étant précieuses.

Plus d’informations sur le site de Noé Conservation

Livre d’or

Le livre d’or n’est plus disponible, mais vous pouvez nous contacter par mail.

[La Terre d’abord dispose désormais d’un petit livre d’or… qui est accessible depuis la colonne juste à droite.

N’hésitez pas à nous laisser des commentaires, et bien entendu à nous envoyer des contributions!]

Les pays de l’Arctique s’inquiètent sur le sort de l’ours blanc

Depuis de nombreuses années, les organisations écologistes ont tiré la sonnette d’alarme quant à l’effet du réchauffement climatique sur l’aire de répartition de l’ours blanc.

En effet, de nombreuses études ont indiqué que la banquise recule et que les glaciers fondent ; d’ici l’année 2020, ils pourraient fondre complètement quand arrive l’été.

Pour conserver l’écosystème du plantigrade et par là même d’éviter qu’il ne disparaisse à jamais de la surface de la terre, les cinq pays qui abritent l’ours polaire à savoir les Etats-Unis, le Canada, la Russie, la Norvège, le Danemark/Groenland, se sont réunis à Tromsoe, dans le nord de la Norvège les 17, 18 et 19 mars 2009.

Cette réunion a pour but d’adapter les termes d’un accord datant de 1973 portant sur la conservation de l’ours polaire, entre autres par la restriction de la chasse.

Toutefois, mis à part le changement climatique, d’autres menaces planent également sur ce prédateur plantigrade. L’introduction humaine dans l’Arctique pour diverses raisons telles que la prospection pétrolière, l’exploitation minière, les expéditions touristiques ou les substances chimiques, constitue en outre un danger réel pour l’ours polaire.

Si l’on se réfère aux rapports produits par les scientifiques américains de l’US Geological Survey, d’ici l’année 2050, les deux-tiers des 20 à 25 000 ours polaires recensés actuellement pourraient disparaître, victime de la course au profit.

PETA veut se servir de la sueur de George Clooney

PETA s’intéresse à la sueur qui se dépose sur les serviettes de George Clooney pendant ses séances de sport;  les produits de la transpiration de l’acteur pourraient selon PETA être utilisés pour élaborer une nouvelle recette de tofu.

PETA a donc envoyé un courrier pour lui demander la permission de créer la fameuse recette, affirmant notamment que les fans seraient ravis à l’idée de pouvoir manger du Clofu, un tofu spécial au goût de George Clooney.

Ce projet "Clofu" montre encore une fois à quel point PETA est une association à la stratégie délirante et totalement coupée de la réalité. Le pire dans cette histoire étant que Clooney n’est pas vegan, ni même végétarien…
 

300 manifestants contre les tests sur les animaux à Louvain

Quelque 300 manifestants ont protesté samedi dernier à Louvain en Belgique, contre les tests pratiqués par la KUL sur des singes de laboratoires. L’action était organisée par la

coalition anti-vivisection

et l’association "

Studenten tegen Onderzoek op Primaten

" (STOP).

 "Nous ne comprenons pas pourquoi notre université continue à employer ces méthodes ancestrales et non-éthiques", regrettent notamment les étudiants membres de STOP. .

Le Canada autorise la chasse de 280.000 phoques cette année

Le Canada autorise cette année la chasse de 280.000 phoques sur sa façade atlantique, a annoncé vendredi la ministre des Pêches, Gail Shea, se disant "extrêmement déçue" qu’une commission du Parlement européen ait demandé l’interdiction du commerce des produits du phoque.

La chasse devrait officiellement débuter entre le 25 et le 31 mars;

Biodiversité et réchauffement climatique : le WWF tire le signal d’alarme

La savane africaine désertée par les éléphants, une banquise arctique sans ours polaires, des orangs-outans condamnés à vivre en captivité car leur milieu d’origine ne leur serait plus favorable… Tel pourrait être le monde de demain, décrit par un nouveau rapport publié par le WWF.

Ce document, consacré aux conséquences potentielles du changement climatique sur certains des animaux, s’appuie sur les travaux scientifiques les plus récents. Sa lecture est troublante : on y apprend que 90 % de la grande barrière de corail australienne pourrait avoir disparu en 2050, tandis que les manchots Adélie peuplant l’Antarctique verraient leurs populations décroître de 70 %. Les ours polaires disparaîtraient totalement de leur milieu naturel d’ici la fin du siècle tandis que tigres, kangourous, grands singes, baleines et dauphins, tortues marines ou albatros subiraient un sort semblable : celui d’un effondrement de leurs populations et d’une érosion substantielle de la faune et de la flore qui peuplent leurs habitats. Comme le rappelle le WWF dans un communiqué, "personne ne souhaite être témoin d’une hécatombe de cette ampleur". L’année 2009 s’achèvera en décembre à Copenhague sur la conclusion des négociations climatiques menées dans le cadre des Nations unies.

Un appel à l’aide pour les blaireaux

Malgré le mouvement d’indignation que soulèvent ces pratiques d’une grande cruauté, la fédération des chasseurs de la Haute-Marne prévoit de renouveler le 27 juin prochain sa journée départementale de déterrage de blaireaux.

Tradition scandaleuse, cette chasse consiste à aller traquer à l’intérieur même des terriers, les blaireaux, renards et autres habitants des sous-sols.

Après avoir bloqué toutes les issues du terrier, les chiens sont introduits dans les tanières. Ils se lancent alors à la poursuite des victimes, qui sans espoir de fuite, sont acculées dans un coin.

S’orientant grâce aux aboiements des chiens, les chasseurs, restés à l’extérieur, localisent l’endroit en question. A l’aide de pioches et de pelles, ils creusent une tranchée avant d’extirper, aux moyens de pinces métalliques spéciales, l’animal traqué et terrorisé après de longues heures d’archarnement…

Ici la pétition lancée par les associations Ligue de Protection des Oiseaux Champagne-ardenne et Nature  Haute-marne.

La course aux cerisiers du Japon

Pour choisir le meilleur moment afin de se pâmer et s’enivrer sous les cerisiers en fleurs, les Japonais peuvent s’inscrire à des sites d’alerte sur téléphone portable, qui les avertissent du jour propice afin d’être aux premières loges, souvent prises d’assaut.

 

L’agence de météorologie privée nippone Weathernews, qui propose une large palette d’informations très précises sur la couleur du ciel et les phénomènes naturels, a ouvert aujourd’hui un service par courrier électronique mobile prévenant de l’éclosion des fleurs roses pâles et blanches des cerisiers.

Cet événement, qui scelle le printemps, est chéri des Japonais depuis la nuit des temps. En famille, entre amis et avec les collègues, chaque année, ils festoient et se soûlent dans les parcs et jardins, sous une pluie de pétales.

Comme le spectacle n’a pas lieu au même moment dans tout le pays (il progresse du sud-ouest à l’est puis au nord) et ne dure guère qu’une semaine par endroit, il faut se tenir au courant pour ne pas rater l’apothéose.

Les Nippons, aussi fanatiques des "sakura" (cerisiers) qu’accros à leur "keitai denwa" (téléphone portable) s’inscrivent tous les ans par dizaines de milliers pour être prévenus, sélectionnant au préalable plusieurs lieux parmi les 600 les plus réputés pour "hanami" (admirer les fleurs).

 

Sauvons le mot Hardcore… et ce qui va avec!

Le site de l’action antifasciste relaie une information édifiante: le milieu néo-nazi allemand veut s’approprier le mot "Hardcore" et en faire une marque protégée!

S’il parvient à ses fins, le néonazi Timo Schubert pourra donc interdire l’utilisation du mot "hardcore" par les labels, par les groupes, par les sites… Tout bonnement incroyable! D’où une campagne lancée en Allemagne pour faire pression et faire en sorte qu’à la fin mars, le recours réussisse et que les nazis n’arrivent pas à leur fin!

Afin de contribuer à ne pas perdre ce fil culturel important, La Terre d’Abord possède désormais deux petites sections de plus: une avec un FAQ concernant ce qu’est le Straight Edge, une autre sur l’histoire de la musique punk hardcore, qui a joué un rôle central dans la naissance du mouvement straight edge.

Suivons attentivement ce qui se passe à ce sujet… et il est également possible d’envoyer un email à l’office allemand de marques (info@dpma.de):

Sehr geehrte Damen und Herren,

die unter dem Aktenzeichen 302008045099.1 von Herrn Timo Schubert aus 37120 Bovenden angemeldete Wortmarke „Hardcore“ dürfte einem Eintragungshindernis unterliegen, worauf ich Sie hinweisen möchte.

„Hardcore“ ist ein beschreibender Begriff für eine Jugend- und Musikkultur (siehe Wikipedia). Ein Musikstil der seit Jahrzehnten ganz klar gegen Rassismus und rechte Ideologien Stellung bezieht. Ich bin erschrocken, dass ein Rechtsextremist wie Timo Schubert jetzt versucht dieses Wort zu vereinnahmen. Es ist davon auszugehen, dass Timo Schubert die Eintragung vor allem dazu nutzen wird nicht-rechte Hardcore-Fans zu verklagen.

Ich hoffe sehr, dass Sie Ihre Entscheidung über die Eintragung der Marke nochmals überdenken.

Für eine baldige Antwort Ihrerseits wäre ich Ihnen dankbar.

Mit freundlichen Grüßen

Quand les citadins américains élèvent des poules

Voici un article tiré d’un grand quotidien, expliquant comment sous prétexte d’autosuffisance, on en revient à New York l’exploitation la plus basique des animaux, avec des poulaillers. Une initiative d’ailleurs organisée, par Just Food, et qui montre bien que sans réorganiser la société de fond en comble, les animaux seront toujours victimes du profit ou de la quête basique pour la survie.

Continue reading « Quand les citadins américains élèvent des poules »